Bonsoir Philippe, Le 30 juin 2013 23:24, Philippe Verdy <verd...@wanadoo.fr> a écrit :
> Devra-t-on cartographier aussi les plaques d'égouts et autre regards sur > les postes enterrés de France Télécom (ou des réseaux cablés) sur les > trottoirs ? Ils ont aussi des numéros visibles sur ces plaques, gravés pour > résister au passage des piétons et des véhicules sur la chaussée... Mais > c'est difficilement utilisble comme repérage si la plaque est au milieu de > la chaussée. > Non les plaques d'égout c'est pas nécessaire. En effet ces numéros ne servent pas au repérage de la trappe. Ce sont principalement des indications sur la classe de résistance du matériau utilisé, selon la norme NF EN 124 par exemple. C'est donc à chaque fois les mêmes, il n'y a donc pas lieu de comparer ces numéros avec la codification des postes ERDF. Il n'y a peut-être qu'à Rennes que j'ai vu France Telecom indiquer les numéros de chambre, très peu exploitable puisqu'au sol, les caractères foutent le camp assez vite. > Parfois on trouve en bordure des trottoirs les entrées d'évacuation des > eaux usées munies aussi d'un rebord métallique gravé aussi d'un numéro. > En bordure des trottoirs le plus souvent c'est peint ou gravé à chaud dans > le bitume coulé, ou tracé dans le ciment avant qu'il prenne. > Au niveau de quelle municipalité ? A Paris il y a les dates de réalisation du revêtement inscrit dans le bitume. Si quelqu'un veut se lancer dans la création de zones fermées pour indiquer l'age du goudron... Libre à lui. > Ces numéros peuvent avoir des usages divers, dans les zones de marchés ils > peuvent délimiter les numéros d'emplacements, mais il faut le savoir, il > peuvent être effacés et retracés à tout moment en fonction des travaux ou > de certains événements, la plupart de ces marquages au sol ne résistent pas > longtemps si l'usage n'est pas régulier (comme les lieux de marchés, mais > le plus souvent c'est un placier qui fait juste un trait à la craie et > mesure les places occupées en fonction des commerçants qui se présentent > sur leurs places réservées). > +1 je suis d'accord. Cependant quel est l'objet ici ? > Mais franchement si on veut quelque chose de fiable, il vaut mieux > utiliser les numéros des adresses d'une rue, c'est stable, à l'abri des > altérations, et même s'il n'y a pas toujours partout des plaques (ou des > gravures sur les murs), on les voit sur les enseignes peintes sur les > vitrines, ou les boîtes à lettres ou sonnettes (on a encore assez de > numéros pour voir où commence et où finit la numérotation et quel est le > côté pair, et se repérer à la dizaine près même sans entrer sur les > propriétés privées (il y a aussi des petits panneaux indicateurs pour les > cas où la numérotation n'est pas linéaire mais inclut une petite tranche > pour une petite impasse, ou ruelle privée en décrochement, pas > nécessairement accessible aux véhicules). > Si on veut quelque chose de durable, il vaut mieux utiliser ce qui est marqué sur la porte même je crois que la question ne se pose pas. Je donnais l'orientation comme exemple, utiliser cette codification permet de ne pas se marginaliser du terrain et de parler de la même chose que tout le monde. Comme je le disais, les collectivités territoriales sont propriétaires des supports. Cette codification est donc largement utilisée dans le dialogue propriétaire / ERDF. On peut la retrouver ailleurs que chez ERDF, bref... *François Lacombe* francois dot lacombe At telecom-bretagne dot eu http://www.infos-reseaux.com
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