Pour les cours d'eau, ce sont des éléments physique qui sont mouvant alors que les frontières sont fixée. On peut avoir la même logique avec les routes dont les autorité locale peuvent modifier le tracé sans respecter à la lettre les frontière.
Près de chez moi, un cours d'eau change doucement chaque année pourtant il est en plaine et le débit en hivers n'est pas très fort. J'avais par erreur modifier les frontières en suivant le cours d'eau mais le cadastre indiquai autre chose même si les écarts sont de quelques mètres, j'ai du tout séparer et réparer pendant une longue demie journée de perdue : http://osm.org/go/xVlCOin3O- Pareil pour les routes et ponts avec un exemple passant au dessus d'une autoroute : http://osm.org/go/xVlmmAVBA-- Après *ce n'est qu'un conseil d'édition*, c'est simplement pour éviter de créer/propager une erreur. Séparer les éléments physique des éléments immatériel me semble conseillé pour éviter de nombreuses heures de correction. Le 6 mars 2013 15:15, Pieren <pier...@gmail.com> a écrit : > 2013/3/6 Francescu GAROBY <windu...@gmail.com>: > > > commune, créant alors un "vide", qui correspond au lit de la rivière. > D'où > > le choix de prendre le tracé central dudit cours d'eau. > > J'ai rencontré des cas similaires avec des chemins. Soit une commune > fixait la limite au milieu et l'autre commune au bord, soit chacune un > bord avec un vide, soit chacune un bord avec superposition. Ou même un > choix qui variait à l'intérieur de la commune d'une planche à > l'autre... Evidemment, dans ces cas-là, on est obligé de faire un > choix subjectif. A moins de contacter les maires des communes > concernées pour savoir qui est en charge de l'entretien du dit chemin > (en espérant qu'ils disent la même chose ;-) > Certaines régions semblent plus touchées que d'autres par ces > aberrations. On espère que la future intégration des cadastres DGFiP > et IGN permettront de remettre à plat ces "erreurs géométriques" > > > Et je plaide coupable (et j'assume complètement) le fait que, lorsqu'une > > frontière de commune et un tracé de cours d'eau/route se superpose, > c'est ce > > dernier que je retiens pour les relations. Voyez là une interprétation > de la > > règle "le terrain prévaut". > > Le terrain n'a aucune valeur en matière de limite administrative > puisqu'elle est invisible. Sauf si on peut voir sur le sol une jolie > ligne blanche ou une clôture symbolisant cette limite dans certaines > contrées. Je connais au moins un exemple de parcelles agricoles qui > sont passées au fil des ans de l'autre côté d'un ruisseau (disons > plutôt que c'est le ruisseau qui a bougé et pas les parcelles, hein). > Et bien ces parcelles font toujours parties de la même commune. La > règle du "terrain prévaut" est donc fausse dans ce cas. > > Pieren > > _______________________________________________ > Talk-fr mailing list > Talk-fr@openstreetmap.org > http://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr >
_______________________________________________ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org http://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr