On Thu, Mar 21, 2002 at 09:05:06AM +0100, Philippe Batailler wrote: > Guillaume Allègre <[EMAIL PROTECTED]> écrivait : > « > « un "portmapper" n'est pas un descripteur de port [...] > > Pourtant, c'est bien ce qu'a voulu dire celui qui a employé ce mot ! > a portmapper is a program which maps ports, qui fait une carte des ports, > qui décrit...
Je suis d'accord avec Guillaume, le verbe « to map » s'emploie souvent dans le sens suivant (définition fournie par dict) : 2. <programming> In {functional programming}, the most common {higher-order function} over lists. Map applies its first argument to each element of its second argument (a list) and returns the list of results. map :: (a -> b) -> [a] -> [b] map f [] = [] map f (x:xs) = f x : map f xs This can be generalised to types other than lists. Le portmapper établit une correspondance entre un numéro de port et autre chose. > Dans le texte /usr/share/doc/netbase/portmapper.txt.gz on peut lire : > « the main task of portmap is to maintain a table of available RPC services > and of the network ports that they are listening on ». > Je traduis ainsi : > La tâche principale du programme portmap est de conserver un tableau > représentant les services RPC disponibles et les ports qui leur sont affectés. > > Il me semble donc qu'on trouve une idée de { représentation/description } à > la fois dans le mot lui-même et dans la chose qu'il signifie. Pas vraiment, il n'y a pas de description, juste une table de correspondance, qui n'a pas vocation à être montrée à l'utilisateur, mais utilisée en interne pour les applications fournissant un service réseau. Denis