Je ne suis pas fan des sources officielles, bon dans la majorité des cas ça
coïncide avec l'usage, mais j'ai 2 contre-exemples :
• Saint-Quentin-en-Yvelines n'est plus officiellement une ville nouvelle
(?), mais reste représentée par le nom de l'université, ou par le nom de la
gare … est-ce que dans l'usage on utilise
encore Saint-Quentin-en-Yvelines ? Si oui, il faudrait un nœud "place=city"
pour la ville non-officielle de Saint-Quentin-en-Yvelines
• Cherbourg-Octeville : je ne sais pas où ça en est, je suppose que le nom
officiel est passé Cherbourg-Octeville, mais on utilise Cherbourg y compris
sur les panneaux de signalisation directionnelle verts et je suppose que
l'usage a toujours été "Cherbourg"

Le 28 août 2017 à 12:54, Christian Quest <cqu...@openstreetmap.fr> a écrit :

> Principe cardinal: représenter ce qu'il y a sur le terrain ? Oui, mais
> avec intelligence...
>
> Le gros avantage d'OSM c'est de permettre de mettre les noms en autant de
> langues que l'on veut avec name:xx=* et en même temps de préciser la langue
> en question, ce qu'un panneau ou une plaque dans la rue ne peut pas
> préciser.
>
> Ceci permet aussi au réutilisateur des données de faire son choix dans les
> langues qu'il veut mettre en avant (le rendu FR utilisera par exemple
> name:fr en priorité).
>
> Pour le name=*, la convention sur OSM c'est de mettre la langue officielle
> du pays, donc en France le français (ou autre si il n'y a pas de version du
> nom en français).
>
> Il y a des exceptions à cette règle pour les pays/régions/communes
> multilingues: Bruxelles, mais aussi la Suisse... qui compte 4 langues
> officielles. Là pour ne pas favoriser une langue par rapport à d'autres, on
> les met toutes.
>
>
> A minima, en France pour les noms de commune, on est quand même bien
> d'accord que name=* correspond au nom du Code Officiel Géographique de
> l'INSEE.
>
>
>
> Le 28/08/2017 à 11:50, Christian Rogel a écrit :
>
>> Le 28 août 2017 à 07:53, Bruno <pa...@free.fr> a écrit :
>>>
>>> Le 27/08/2017 à 22:05, Christian Rogel a écrit :
>>>
>>>> Le 27 août 2017 à 17:04, Bruno <pa...@free.fr> a écrit :
>>>>>
>>>> En gros, il y a un conflit théorique entre deux sources de légitimité :
>>>> ce qu'on voit et ce que l'autorité compétente a voulu signifier.
>>>>
>>> Pour moi aucune complexité,
>>> Il me semble que l'on voit sur la plaque le nom d'une rue dans deux
>>> langues  , il n'y a pas de conflit.
>>> Le champ name contient le nom dans une langue , et name:xx dans une
>>> autre, c'est fait pour ça.
>>>
>> C'est pourtant contraire à un principe cardinal d'OSM : représenter ce
>> qu'il sur le terrain.
>> L'exemple bruxellois montre qu'on peut faire autrement tout en donnant
>> leur place aux suffixes de langue.
>> Même si un nombre infinitésimal de communes a choisi de placer les deux
>> noms  sur un même niveau juridique, l'effacer dans la représentation du
>> terrain est une voie de fait, puisque c'est nier la décision d'un corps élu.
>>
>> Si il pouvait y avoir conflit c'est sur le choix de la langue dans l'un
>>> ou l'autre champ , mais en France il n'y a pas d'ambiguité, pas de
>>> bilinguisme en métropole.
>>>
>>
>> Là, tu introduis un argument non plus technique, mais politique, donc
>> renversable par nature. Pas de question de bilinguisme en jeu, il suffirait
>> que le Parlement prescrive qu'aucun élément d'une plaque de rue ne soit
>> laissé de côté.
>>
>> Christian R.
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