Le 18/08/2017 à 14:01, marc marc a écrit :
Le 17. 08. 17 à 22:37, osm.sanspourr...@spamgourmet.com a écrit :
Assez d'accord avec Christian et Marc.

Mais surtout avec la remarque de Vincent : KISS.

Qu'est que qui nous intéresse ? Qu'est ce qui est important ?

Qu'est ce que l'on pet vérifier facilement ?
Si on veux faire simple, il ne faudrait que 2 ou 3 catégories
principales, le reste étant des sous-catégorie.
Un peu comme pour la surface des routes où asphalt est une raffinement
de paved.

La question étant : y a-t-il 2 catégories principales ? public <> privé
ou 3 ? public <> commercial <> non commercial ?

Selon taginfo, pour l'instant c'est le flou.
Je dirais que c'est le flou à partir de la 6e catégorie, les 5 premiers étant private, public, government, community, et religious enfin avec 1,69 %, cela fait 5 catégories qui me semblent assez pertinentes. La vraie 5e est une fausse, puisque c'est une faute d'orthographe de government, comme la 8e, d'ailleurs.

En fait, ce qui me semble important si l'on se soucie du type de l'opérateur, c'est de distinguer ce qui public, privé, ou autogéré. Je veux parler de coopérative de consommation ou association, dont les usagers sont plus ou moins invités/contraint à prendre des responsabilités, ne serait-ce que par une adhésion. Mais il est clair que ce n'est pas toujours évident : le statut associatif masque souvent une entreprise fortement oligarchique, du type président un gus, et secrétaire-trésorière sa femme. Et personne d'autre dans l'association, si ce n'est quelques lointains amis déconnectés de l'entreprise, qui adhèrent pour faire plaisir mais certainement pas pour donner leur avis. À l'inverse, j'ai connu par le passé une coopérative dans laquelle on était fortement invité à travailler 15-30 mn à chaque fois que l'on venait faire ses courses (et obligation de prendre une part sociale pour pouvoir acheter).

Ensuite, dans les privés, je suis très sensible au fait que ce soit une entreprise individuelle autonome (pas une franchise), avec maxi 2 ou 3 salariés, ou bien une grosse boite de 10 à 100 salariés, ou bien encore une chaine mondiale. Mais les tags proposés ne permettent pas ces distinctions.

Par contre, je suis très sceptique sur la discrimination public/gouvernemental qui rencontre un franc succès, mais peut-être parce que ce n'est pas très pertinent en France, mais que ça l'est énormément dans d'autres pays ?

Il faudrait peut-être proposer dont une valeur « auto-géré » ( « self-managed » ?) pour ces coopératives de consommation ou association ? Mais peut-être alors que « community » conviendrait tout-à-fait, ce qui expliquerait son franc succès (4 % des utilisations, et 4e rang). En, d'après la carte, c'est surtout au Mali, Burkina, et Cuba que cela semble utilisé.

On pourrait aussi élargir la définition de « community » à ces strutures dont les usagers sont aussi les gestionnaires. C'est dans cette compréhension du tag que j'ai donné l'exemple du premier mail.

Muselaar





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