C'est vrai que le GPS continue, par son aspect ludique, d'enflammer l'imagination, de fasciner les correspondants locaux, etc. On peut tourner les choses de manière moins négative que de dire le GPS au placard et vive le traçage au chaud, mais comme il a été dit aussi, il faut vérifier sur le terrain. Donc, si on veut proposer quelque chose de similaire, mais mis à jour, aux cartoparties municipales ou, au moins, collectives, on a la démarche suivante : - Les éclaireurs (centres multimédias , cyberbase, individus motivés) tracent toute la voirie goudronnée ou non + les POI les plus évidents - A partir d'un walking paper, on peut faire non pas une cartopartie au GPS, mais une cartophotopartie pour photographier les points particuliers non visibles du ciel : panneaux d'interdiction, types de ralentisseurs de trafic, boites aux lettres, bouches à incendies, fontaines, commerces, cheminements piétonniers (pour en voir le revêtement et surtout les plots et barrières), calvaires, petits édifices remarquables (stèles, statues, lavoirs...).
A un certain moment, il faudrait systématiser la collecte des photos
géolocalisées pour qu'elles apparaissent en complément de la carte.
C'est dans ce type d'action que les cyberbases (ou centres multimédias) pourraient trouver à rebondir : constituer la photothèque collaborative et partageable de la commune, en fixant l'objectif concret d'une carte augmentée, mais qui pourrait se révéler, au fil du temps, d'intérêt public, puis historique. - Comme il a été dit, il peut rester des choses à faire avec un GPS, surtout dans les couvert forestiers dont les ruisseaux sous arbres qui ne sont pas cadastrés et dont seule la connaissance des lieux permet de savoir s'ils sont permanents. Des géolocalisations très précises pourraient être utiles quand les GPS le permettant seront abordables.

Christian



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