Bonjour, Le 11/03/2019 à 12:32, Toussaint OTTAVI a écrit : > > Le 11/03/2019 à 10:27, Samuel Thibault a écrit : >> Pour que tout reste possible, oui. > C'est quoi, "tout" ? >[...] > Qui peut citer un seul exemple d'une application concrète, dans laquelle > 3 milliards de machines ou de personnes ont besoin d'en contacter 3 > milliards d'autres ?
Sauf erreur le besoin d'IPv6 ne se résume pas en terme de quantité d'adresses exploitables. C'est bien évidemment la première chose qui vient en tête . Mais il y a aussi, et c'est ce qui moi m'intéresse le plus, la possibilité de segmenter plus finement des niveaux hiérarchiques. On peut se permettre d'avoir presque autant de niveaux qu'on souhaite et faire en sorte que tous soient globalement routables sur Internet ET en fonction des politiques de sécurité qu'on se sera fixées. > Dans tous les domaines de la vie courante, sur ce qui reste encore de > notre sympathique planète, on cherche aujourd'hui à optimiser, > rationaliser, économiser, réduire les consommations et les empreintes > carbone. Et nous, nous devrions nous permettre le luxe de gaspiller des > milliards de milliards d'adresses, dont seul un pourcentage > infinitésimal de combinaisons sera réellement utilisé ? C'est en IPv4 qu'on avait fait du gaspillage surtout au début. Pourquoi ça dérange certains de (re)partir sur de bonnes bases en pensant sur les décennies (voire les siècles) à venir ? :) . Pour le moment nous n'utilisons que 2000::/3 pour les adresses globalement routables .... -- Willy Manga @ongolaboy https://ongola.blogspot.com/
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