Le 3 janvier 2013 13:49, François Lacombe <francois.laco...@telecom-bretagne.eu> a écrit : > Le 3 janvier 2013 11:12, David Crochet <david.croc...@online.fr> a écrit : > >> Est-ce que RTE applique des informations de réseau d'énergie indépendant >> du réseau physique comme le fait la SCNF qui applique un numéro de ligne (le >> Paris-Granville) indépendant des voies physique mais liés quand même ? >> Dans ce cas, pas la peine de simuler la présence de plusieurs réseaux au >> sein d'un même « chemin » puisque la relation va faire le tri correctement >> dans ce cas > > > Si les voies SNCF correspondent aux files de pylônes alors la réponse est > oui.
Pour la SNCF, il y a des relations route=train pour décrire les trains qui circulent sur les route=railway qui sont les infrastructures des lignes elles même. Les premiers sont liés à la SNCF, les seconds en réalité à RFF. François, ton TOC* est déjà identifié: les pylônes électrique car dans ces relations, il n'y a pas de pylônes... certaines lignes ferroviaires n'étant toujours pas électrifiées ;) > RTE ne connait même que le circuit qui est codifié selon le nom des postes > aux extrémités et suivant un ordre numérique (plusieurs circuits peuvent > correspondre aux mêmes extrémités). > Les files de pylônes ne sont pas codifiées en tant qu'artère, par contre les > pylônes possèdent des numéros (selon un des circuits supportés je crois) > > Je suis aussi d'accord pour dire que la relation réifie correctement le > circuit, il faut que tout s'ordonne dans ma tête surtout :) > > > Il peut exister des cas particuliers : les piquages. > C'est le cas à Montchanin : http://goo.gl/maps/fjdKy > Le circuit de gauche se voit ponctionner vers le poste électrique tout > proche. Là, le modèle d'OSM à base de relation permet de traiter ce cas avec > un tag via=xxxx par contre je ne sais pas comment RTE fait puisque le > circuit n'a pas 2 mais 3 extrémités. > > D'ailleurs les apparences sont parfois trompeuses puisque ce circuit est > construit en techno 400 kV mais n'accepte en réalité que du 225 kV (cf le > piquage et les cartes de RTE). > Le 400 kV arrive prochainement. > http://www.rte-france.com/fr/nos-activites/nos-projets/bourgogne/les-projets-en-cours-en-bourgogne > > >> >> Car « power=cable » sous entend implicitement « layer = -1 » ce qui évite >> par exemple à un logiciel de dire qu'un câble croisent sans connexion une >> ligne. alors qu'il n'ont pas le layer indiqué > > > Je ne comprends pas très bien cette histoire de "layer". > Deux ways peuvent se croiser, elles ne seront connectées que si elles ont un > node en commun à l'endroit du croisement. > Pourquoi vouloir hiérarchiser de cette façon? > > Une habitude qui vient des routes, l'une passe forcément sur l'autre et layer permet d'indiquer qui est dessus, qui est dessous ce qui n'est pas forcément sans intérêt, car dans la réalité c'est quand même bien comme ça. >> >> Mais très peu visible sauf les balises au sol indiquant la présence d'un >> réseau souterrain > > Ce que je voulais dire est qu'un contributeur OSM pourra faire la carto > d'une artère BTB aérienne qui disparaitra 15 jours plus tard sous le coup > d'une dissimulation de réseau. > > La capillarité fait que les zones à surveiller sont multiples sans avoir une > visibilité correcte sur les projets des concessionnaires de ces réseaux. > Sur la HTB (et ca démarre un peu sur la HTA) les projets sont connus et les > travaux bien plus voyant. > > C'est juste une question de capacité de mise à jour, sinon on est bien > d'accord que le max de données disponibles reste l'objectif. > C'est une question qui revient pour quasiment tout type de données: a-t-on les moyens de les maintenir à jour ? Cette question se pose logiquement le plus pour des données qui vont dans le détail. *TOC = Trouble Obsessionnel Cartographique -- Christian Quest - OpenStreetMap France - http://openstreetmap.fr/u/cquest _______________________________________________ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org http://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr