Finalement, on en revient à ce que je disais: si un petit malin fait sauter les 
landing stations françaises, on pourra encore communiquer avec l'Europe de 
l'Ouest.
Et il y a un facteur qui est rarement pris en compte: quel est le niveau 
d'occupation actuel des liens allumés en IP, et quel serait le niveau 
d'engorgement si la moitié de la capa sous-marine était HS.
Il faudrait juste faire une simulation grandeur nature. C'est généralement ce 
qu'on fait dans d'autres domaines (backup, sécurité physique, évacuation, etc…).


Le 8 avr. 2014 à 15:30, Radu-Adrian Feurdean a écrit :

> On Tue, Apr 8, 2014, at 13:31, Frédéric Perrod wrote:
> 
>> Tu es sûr de ça?
>> Je vois bien des câbles qui traversent l'Europe et des câbles qui  
>> traversent les Etats-Unis, par contre je vois rien sur les cartes pour  
>> une traversée Europe-Asie par voie terrestre.
> 
> Ca existe quand-meme. Il n'y a pas beaucoup (je pense a deux), c'est
> hyepr-cher, mais ca existe. Et en raison du prix, c'est plutot utilise
> pour des reseaux prives, pas beaucoup pour du internet "classique".
> 
>> Un lien vers une carte?
> 
> Si ce n'est pas publique, ca ne veut pas dire que ca n'existe pas.
> 
>> dont Marseille qui  concentre toutes les communications directes vers 
>> l'Asie. 
> 
> Nope. SMW-3 ne passe pas par "l'autre cote" (UK-PT-Mediteranee), et pas
> mal de traffic Internet vers l'asie passe via US (en traversant les deux
> oceans).
> Donc une coupure de cable sous-marin vers l'asie aura certainement un
> impact vers un certain nombre de societes, mais pas beaucoup pour le
> trafic internet europeen.
> 
> 
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> Liste de diffusion du FRnOG
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