Le 26 janvier 2002, François Boisson, à bout, prit son clavier pour
taper sur son écran:
> Certes mais pourquoi être toujours motiver par "trouver un intérêt à" ou
> "il faut que ça apporte qque chose...".

Heu! Parce que entre une chose qui n'a pas d'intérêt et une qui en a un,
je sais pas mais je préfère celle qui en a un! Je pense que tu ne t'es
pas relu.

> C'est un choix historique des
> créateurs de Debian,

Toutes les décisions passées font parties de l'Histoire, mais ce n'est
pas ce qui empéche de les changer, sinon tu tiens là un propos réactionnaire.

> c'est rigolo, (ou ça n'est pas rigolo ça dépend des
> gens)... et ça n'a pas d'importance.

Détrompes toi, je trouve l'idée assez drôle, mais je trouve aussi que
c'est de la ghettoisation[1] culturelle, à l'image de ces enfants africains
qui ne connaissent Malarmé que comme le nom d'une arme à feu.

> Laissons donc la responsabilité de ce
> choix aux créateurs de Debian, 

Pourquoi le faire si on peut le changer! Certainement pas pour fuir
une responsabilité!

> et puisque l'incidence sur la fiabilité et
> le sérieux de Debian est nul, continuons comme ça.

Je ne suis pas d'accord pour le sérieux. Toys Story, franchement...

[1]Pour préciser le sens dans lequel je l'emploi, voici la définition
de mon Larousse de poche 1988:
ghetto: Autrefois, quartier juif d'une ville. Milieu renfermé sur
lui-même.


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| Debout! les damnés de la terre! | Du passé faisons table rase,      | C'est l
| Debout! les forçats de la faim! | Foule esclave, debout! debout!    | Groupon
| La raison tonne en son cratère, | Le monde va changer de base:      | L'Inter
| C'est l'éruption de la fin.     | Nous ne sommes rien, soyons tout! | Sera le

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