Guillaume Allègre <[EMAIL PROTECTED]> écrivait : « Traduction reprise de celle d'Eric, avec réorganisation du document « depuis la précédente VF.
Voici ma relecture. Patrice dit installateur, toi installeur... On pourrait mettre le premier ? a+ -- philippe batailler in girum imus nocte et consumimur igni
--- partitioning.fr.sgml Tue Apr 16 08:38:58 2002 +++ partitioning.fr.relu.sgml Tue Apr 16 08:37:12 2002 @@ -17,8 +17,8 @@ applications et vos fichiers personnels. La plupart des gens pensent qu'une partition d'échange (swap) est nécessaire, bien que ce ne soit pas tout à fait vrai. -Le « Swap » est un espace de travail pour un système d'exploitation, -qui permet au système d'utiliser de l'espace disque comme « mémoire +Le « Swap » est l'espace de travail du système d'exploitation ; il lui, +permet d'utiliser de l'espace disque comme « mémoire virtuelle ». En le plaçant sur une partition séparée, Linux peut en faire un usage bien plus efficace. Il est possible de forcer Linux à utiliser un fichier normal comme espace d'échange, mais ce n'est pas @@ -28,7 +28,7 @@ minimum requis pour GNU/Linux. Il y a deux raisons pour que vous ayez envie de diviser le système de fichiers en de nombreuses petites partitions. La première -s'appelle sécurité. Si le système de fichiers est corrompu, +concerne la sécurité. Si le système de fichiers est corrompu, en général une seule partition est affectée. Donc, vous n'avez à remplacer (à partir des sauvegardes que vous avez soigneusement conservées) qu'une partie de votre système. Au minimum, vous devriez envisager la création @@ -51,18 +51,18 @@ Cela pourrait même ne pas être un problème provenant de votre machine locale. Par exemple, recevoir des envois en nombre de messages électroniques peut facilement -remplir une partition. En utilisant plus de partitions, vous protégez +remplir une partition. En utilisant plusieurs partitions, vous protégez le système de beaucoup de ces problèmes. Pour reprendre encore l'exemple du courrier, en plaçant <file>/var/mail</file> sur sa propre partition, la majeure partie du système marchera même si vous êtes submergé de courrier non sollicité (<em>spam</em>). <p> -Le seul inconvénient qu'il y a à utiliser plus de partitions est qu'il +Le seul inconvénient qu'il y a à utiliser plusieurs partitions est qu'il est souvent difficile de connaître ses besoins à l'avance. Si vous -faites une partition trop petite alors vous aurez soit à réinstaller +faites une partition trop petite, vous aurez soit à réinstaller le système soit à déplacer constamment des fichiers pour faire -de la place sur la partition sous-dimensionnée. D'un autre côté, si +de la place sur la partition sous dimensionnée. D'un autre côté, si vous faites une partition trop grande, vous aurez perdu de l'espace pouvant être utile ailleurs. L'espace disque est bon marché de nos jours, mais pourquoi jeter votre argent par les fenêtres ? @@ -83,14 +83,14 @@ Il est très important de noter que si votre disque est partitionné avec une table GPT et que vous vouliez passer à des tables MS-DOS, vous devez utiliser <prgn>parted</prgn> pour créer la nouvelle partition. -Ceci car les deux tables utilisent des zones différentes du disque, et +Car les deux tables utilisent des zones différentes du disque, et <prgn>cfdisk</prgn> ne sait pas comment enlever une table GPT. <p> Une différence importante entre <prgn>cfdisk</prgn> et <prgn>parted</prgn> -est leur manière d'identifier le type de chaque partition. +est leur manière d'identifier le type de chaque partition. <prgn>cfdisk</prgn> utilise un octet de la table de partitions (par exemple, 83 pour une partition linux ext2fs) alors que <prgn>parted</prgn> identifie -le type de partition en examinant les données qui y sont stockées. +le type de la partition en examinant les données qui y sont stockées. Cela signifie que <prgn>parted</prgn> ne considérera une partition comme partition d'échange (<em>swap</em>) que lorsque vous l'aurez formattée en tant que telle. De même, il ne détectera une partition @@ -103,7 +103,7 @@ commande et n'est pas aussi convivial que <prgn>cfdisk</prgn>. En supposant que vous désiriez effacer tout votre disque, et créer une table GPT et quelques partitions, vous aurez à taper une succession de -commandes du genre de la suivante : +commandes de ce genre : <p> <example> mklabel gpt @@ -114,7 +114,7 @@ print quit </example> -Ceci crée une nouvelle table de partitions, et trois partitions, +Ces commandes créent une nouvelle table de partitions, et trois partitions, utilisées en tant que partition de boot EFI, partition d'échange, et système de fichiers racine. Enfin, on positionne le drapeau de boot sur la partition EFI. @@ -128,12 +128,12 @@ ]]> <p> - <sect1 id="directory-tree">L'arborescence de fichiers + <sect1 id="directory-tree">L'arborescence des fichiers <p> -&debian; adhère au <url id="&url-fhs-home;" name="Standard de -Hiérarchie des systèmes de fichiers"> pour le nommage des fichiers et -répertoires. Ce standard permet aux utilisateurs et aux logiciels de -prévoir l'emplacement des fichiers et répertoires. Le répertoire +&debian; adhère au <url id="&url-fhs-home;" name="Standard sur +l'organisation des systèmes de fichiers"> pour le nommage des fichiers et +des répertoires. Ce standard permet aux utilisateurs et aux logiciels de +prévoir l'emplacement des fichiers et des répertoires. Le répertoire racine est simplement représenté par la barre oblique <file>/</file>. Au niveau de la racine, tous les systèmes Debian incluent ces répertoires : @@ -163,7 +163,7 @@ La partition racine <file>/</file> doit toujours contenir les répertoires : <file>/etc</file>, <file>/bin</file>, <file>/sbin</file>, -<file>/lib</file> et <file>/dev</file>, sinon votre système ne pourra +<file>/lib</file> et <file>/dev</file> ; sinon votre système ne pourra pas démarrer. En général, 100 Mo sont nécessaires, mais cela peut varier. <item> <file>/usr</file> : tous les programmes utilisateurs @@ -172,8 +172,8 @@ répertoire. C'est cette partie du système de fichiers qui a besoin du plus d'espace. Vous devriez disposer d'au moins 500 Mo d'espace disque. -Si vous voulez installer plus de paquetages, vous devriez augmenter -l'espace disque alloué à ce répertoire. +Si vous voulez installer plus de paquets, vous devriez augmenter +l'espace disque attribué à ce répertoire. <item> <file>/home</file> : chaque utilisateur mettra ses données dans un sous-répertoire de ce répertoire. La place nécessaire dépend du @@ -183,14 +183,14 @@ <item> <file>/var</file> : toutes les données variables comme les articles des forums usenet, les messages électroniques, les sites web, -le cache d'APT, etc, seront placées dans ce répertoire. La place +le cache d'APT, etc. seront placées dans ce répertoire. La place nécessaire dépend énormément de l'usage que vous faites de votre ordinateur, mais pour la plupart des administrateurs, elle sera dictée par la charge due aux outils de gestion des paquets. Si vous envisagez de faire une installation complète de tout ce que Debian peut vous offrir en une seule fois, réserver 2 ou 3 Go d'espace -pour <file>/var</file> devraient suffire. Si vous préférez installer -le tout en plusieurs étapes (par ex., d'abord les services et +pour <file>/var</file> devrait suffire. Si vous préférez installer +le tout en plusieurs étapes (p. ex., d'abord les services et utilitaires, puis les outils texte, puis X11...), vous pouvez vous contenter de 300 Mo pour <file>/var</file>. Si l'espace disque est une contrainte majeure et que vous ne voulez @@ -203,7 +203,7 @@ </list> <![ %i386 [ - <sect1>Limitation sur les disques de PC + <sect1>Limitations sur les disques de PC <p> Les BIOS des PC ont généralement leurs propres contraintes pour le partitionnement des disques. Il y a une limite sur le nombre de @@ -214,10 +214,10 @@ d'information dans le <url id="&url-partition-howto;" name="Linux Partition HOWTO">, et le <url id="&url-phoenix-bios-faq-large-disk;" name="Phoenix BIOS FAQ">, mais cette -section contient un bref survol pour vous aider à applanir les difficultés +section contient un bref survol pour vous aider à aplanir les difficultés les plus courantes. <p> -À l'origine, le système de partionnement des disques de PC est basé +À l'origine, le système de partitionnement des disques de PC est basé sur les partitions « primaires », mais il ne peut y en avoir que quatre. Pour passer outre cette limitation, les partitions « étendues » et « logiques » ont été inventées. En configurant une partition primaire @@ -239,9 +239,9 @@ la translation du BIOS). <p> Cette restriction ne s'applique pas si vous avez un BIOS postérieur à -1995-98 (selon les constructeurs) qui supportent la norme +1995-98 (selon les constructeurs) qui supporte la norme « Enhanced Disk Drive Support Specification ». -Lilo, le chargeur Linux et l'alternative Debian, <prgn>mbr</prgn> ont +Lilo, le chargeur Linux, et l'alternative Debian, <prgn>mbr</prgn>, ont besoin du BIOS pour charger en RAM le noyau lu sur le disque. Si les extensions du BIOS int 0x13 pour l'accès aux gros disques sont présentes, elles seront utilisées. Sinon, l'interface standard d'accès @@ -276,37 +276,37 @@ <sect>Schéma de partitionnement recommandé <p> Pour les nouveaux utilisateurs, les machines Debian personnelles ou -familiales, et autres systèmes mono-utilisateurs, une simple partition +familiales, ou pour d'autres systèmes mono-utilisateurs, une simple partition <file>/</file> (plus celle d'échange) est sans doute la solution la plus simple. Cette idée peut cependant poser problème avec les plus gros disques (20 Go). A cause des limitations d'ext2fs, mieux vaut -éviter de faire une seule partition si on dispose de plus de 6 Go environ. +éviter de créer une partition supérieure à 6 Go. <p>Pour les systèmes multi-utilisateurs, il vaut mieux placer les répertoires <file>/usr</file>, <file>/var</file>, <file>/tmp</file>, -et <file>/home</file> chacun sur sa partition, et séparés de la +et <file>/home</file> chacun sur une partition distincte de la partition <file>/</file>. <p> Dans certains cas, vous pourriez avoir besoin d'une partition -<file>/usr/local</file> séparée si vous prévoyez d'installer beaucoup de +<file>/usr/local</file> distincte si vous prévoyez d'installer beaucoup de programmes qui ne font pas partie de la distribution Debian. -Si votre machine est destinée à être serveur de courrier, vous -pourriez avoir besoin de faire de <file>/var/mail</file> -une partition séparée. Parfois, mettre +Si votre machine est destinée à être un serveur de courrier, vous +pourriez mettre <file>/var/mail</file> sur +une partition distincte. Parfois, mettre <file>/tmp</file> sur sa propre partition, par exemple 20 à 50 Mo est une bonne idée. Si vous mettez sur pied un serveur avec beaucoup de comptes utilisateurs, il est généralement intéressant d'avoir une grande partition -séparée pour <file>/home</file>. En général, la méthode de partitionnement -varie d'un ordinateur à l'autre en fonction de son usage. +distincte pour <file>/home</file>. En général, la méthode de partitionnement +varie d'un ordinateur à l'autre, en fonction de son usage. <p> Pour des systèmes très complexes, consultez le <url id="&url-multidisk-howto;" name="Multi Disk HOWTO">. Il contient des -informations très précises qui intéresseront les fournisseurs d'accès -et les personnes installant des serveurs. +informations très précises qui intéresseront les fournisseurs d'accès à +Internet et les personnes installant des serveurs. <p> En ce qui concerne la taille de la partition d'échange (swap), -les avis sont partagés. Une règle traditionnelle qui fonctionne bien +les avis sont partagés. Une règle traditionnelle, qui fonctionne bien, est d'utiliser autant d'espace d'échange que de RAM. -Il ne devrait pas y avoir moins de 16 Mo dans la plupart des cas. +Dans la plupart des cas, cette taille ne devrait pas être inférieure à 16 Mo. Bien sûr, il y a des exceptions. Si vous essayez de résoudre 10000 équations simultanément sur une machine avec 256 Mo de RAM, vous pourriez avoir besoin d'un giga octet (ou plus) d'échange. @@ -318,7 +318,7 @@ Sur les architectures 32 bits (i386, m68k, SPARC 32 bits et PowerPC), la taille maximale d'une partition d'échange est de 2 Go (sur les Alpha et les Sparc 64, elle est si grande qu'elle est virtuellement -infinie). Cela devrait suffire pour presque tous les systèmes +infinie). Cela devrait suffire pour presque tous les systèmes. De toute façon, si vos besoins en espace d'échange sont aussi importants, vous devriez probablement essayer de disperser les partitions d'échange sur des disques différents (appelés aussi « spindles ») et, si @@ -343,13 +343,13 @@ <sect1>Partitions nécessaires au chargeur de boot <p> PALO, le chargeur de boot pour HPPA, nécessite une partition de type -"F0" quelque part dans les premiers 2 Go. +"F0" quelque part dans les deux premiers Go. C'est la partition où seront stockés le chargeur de boot et un noyau -et un ramdisk optionnels, aussi faites la assez grande, au moins 4 Mo +et un ramdisk optionnels, aussi faites-la assez grande, au moins 4 Mo (je préfère 8 à 16 Mo). Le microprogramme (<em>firmware</em>) -exige de plus que le noyau Linux réside dans les premiers 2 Go. -Typiquement, c'est réglé en mettant la totalité de la partition racine -ext2 dans les premiers 2 Go du disque. Sinon, vous pouvez créer +exige de plus que le noyau Linux réside dans les deux premiers Go. +On règle cette question en mettant la totalité de la partition racine +ext2 dans les deux premiers Go du disque. Sinon, vous pouvez créer une petite partition ext2 au début du disque et la monter sur <file>/boot</file>, le répertoire où les noyaux Linux seront stockés. <file>/boot</file> doit être assez gros pour contenir autant de noyaux @@ -366,7 +366,7 @@ Si vous avez utilisé une table de partitions MS-DOS, cette partition devrait être de type "EF". La partition doit être assez grande pour contenir le chargeur de boot et tous les noyaux et ramdisks que vous -voudrez utilisez pour démarrer. Une taille minimum serait de +voudrez utiliser pour démarrer. Une taille minimum serait de 16 Mo mais si vous voulez faire du développement ou des expérimentations avec plusieurs noyaux, vous pouvez monter à 128 Mo. @@ -378,11 +378,11 @@ SGI Indys nécessite une étiquette de disque (<em>disklabel</em>) SGI afin de pouvoir démarrer le système depuis le disque dur. Elle peut être créée à partir du menu expert de <prgn>fdisk</prgn>, option g. -L'entête du volume ainsi créé (numéro de partition 9) devrait faire au moins +L'en-tête du volume ainsi créé (numéro de partition 9) devrait faire au moins 3 Mo. Afin de pouvoir y stocker plusieurs noyaux, une taille de -10 Mo est recommandée. Si l'entête de volume est trop petit, vous -pouvez tout simplement effacer la partition numéro 9 et la re-créer -avec une taille différente. Notez que l'entête de volume doit démarrer +10 Mo est recommandée. Si l'en-tête de volume est trop petit, vous +pouvez tout simplement effacer la partition numéro 9 et la recréer +avec une taille différente. Notez que l'en-tête de volume doit démarrer au secteur 0. ]]> @@ -460,26 +460,26 @@ « sda3 ». La même convention s'applique au disque « sdb » et ses partitions. <p> -Notez que si vous avez deux adaptateurs SCSI (càd des contrôleurs), +Notez que si vous avez deux adaptateurs SCSI (c.-à-d. des contrôleurs), l'ordre de nommage des disques peut-être embrouillé. La meilleure -solution est de regarder les messages au démarrage en supposant que +solution est de regarder les messages au démarrage, en supposant que vous connaissiez les modèles ou les tailles des disques. <![ %i386 [ <p> -Linux représente les partitions primaires par le nom du disque suivi +Linux représente les partitions primaires par le nom du disque, suivi des nombres 1 à 4. Par exemple la première partition sur le premier disque IDE est <file>/dev/hda1</file>. Les partitions logiques sont numérotées à partir de 5. Donc, la première partition logique sur ce même disque est <file>/dev/hda5</file>. Rappelez-vous que la partition étendue, c'est à dire la partition primaire contenant les partitions -logiques n'est pas utilisable en elle-même. +logiques, n'est pas utilisable en elle-même. Cela s'applique aussi bien aux disques IDE qu'aux disques SCSI. ]]> <![ %m68k [ <p> -Les systèmes à VMEbus utilisant le lecteur de disquettes SCSI TEAC FC-1 +Les systèmes à VMEbus, utilisant le lecteur de disquettes SCSI TEAC FC-1, le verront comme un disque SCSI normal. Pour faciliter l'identification du lecteur, le logiciel d'installation créera un lien symbolique <file>/dev/sfd0</file> vers le périphérique approprié. @@ -489,9 +489,9 @@ <p> Les partitions des disques Sun autorisent 8 partitions différentes (ou tranches, <em>slices</em>). La troisième partition est habituellement -(et préférentiellement) la partition « Disque Entier ». +(et de préférence) la partition « Disque Entier ». Cette partition référence tous les secteurs du disque, et est utilisée -par le chargeur de boot (soit SILO, soir celui de Sun). +par le chargeur de boot (soit SILO, soit celui de Sun). ]]> <![ %s390 [ @@ -511,18 +511,18 @@ <taglist> -<![ %fdisk.txt [ <tag><prgn>fdisk</prgn><item> Le partitionneur de disque -d'origine de Linux, bon pour les gourous. Lisez la +<![ %fdisk.txt [ <tag><prgn>fdisk</prgn><item> Le premier partitionneur de +disque pour Linux, bon pour les gourous. Lisez la <url id="fdisk.txt" name="page de manuel de fdisk">. <p> -Attention, si vous avez des partitions FreeBSD sur votre machine. Les +Faites attention si vous avez des partitions FreeBSD sur votre machine. Les noyaux d'installation incluent un support pour ces partitions, mais la façon dont <prgn>fdisk</prgn> les représente (ou pas) peut faire varier les noms de -périphériques. Soyez prudent et lisez le <url id="&url-linux-freebsd" +périphériques. Lisez le <url id="&url-linux-freebsd" name="Linux+FreeBSD HOWTO">. ]]> <![ %cfdisk.txt [ <tag><prgn>cfdisk</prgn><item> Un partitionneur -simple à utiliser fonctionnant en mode plein écran, pour le reste d'entre nous. +simple à utiliser, fonctionnant en mode plein écran, pour nous autres. Lisez la <url id="man-cfdisk" name="page de manuel de cfdisk">. <p>Remarquez que <prgn>cfdisk</prgn> ne comprend pas du tout @@ -553,7 +553,7 @@ </taglist> <p> -L'n de ces programmes sera lancé par défaut quand vous sélectionnerez +L'un de ces programmes sera lancé par défaut quand vous sélectionnerez &MSG-PARTITION-DISK;. Si ce n'est pas celui que vous souhaitez utiliser, quittez le programme de partitionnement, allez à la console 2 (tty2) en appuyant simultanément sur les touches <tt>Alt</tt> et <tt>F2</tt>, et tapez @@ -576,8 +576,8 @@ pour créer les "Sun disk labels". <p> De plus, avec les disques &arch-title;, assurez-vous que la première -partition de votre disque de démarrage commence au cylindre 0. Cela -est obligatoire et signifie également que la première partition +partition de votre disque de démarrage commence au cylindre 0. C'est +obligatoire et cela signifie également que la première partition contient la table de partitions et le bloc de démarrage (<em>boot block</em>), qui représentent les 2 premiers secteurs du disque. Vous <em>ne devez pas</em> placer la partition d'échange @@ -587,9 +587,9 @@ endroit ; cela laissera la table de partitions et le bloc de démarrage tranquilles. <p> -Il est aussi conseillé que la 3e partition soit de type "Whole disk" +Il est aussi conseillé que la 3e partition soit de type « Whole disk » (type 5), et contienne le disque entier (du premier au dernier cylindre). -Ceci est une convention des étiquettes des disques Sun et aide le +C'est une convention des étiquettes des disques Sun et cela aide le chargeur de démarrage <prgn>SILO</prgn> à ne pas perdre la tête. ]]> @@ -605,7 +605,7 @@ <prgn>dbootstrap</prgn> lancera <prgn>fdisk</prgn> par défaut, si vous n'avez pas démarré à partir de <prgn>MILO</prgn>. <p> -Si le disque que vous compter partitionner contient déjà un disklabel +Si le disque que vous comptez partitionner contient déjà un disklabel BSD, <prgn>fdisk</prgn> passera automatiquement en mode disklabel BSD. Autrement, vous devez utiliser la commande b pour entrer en mode disklabel. <p> @@ -620,13 +620,13 @@ <p> De même, puisque <prgn>aboot</> est écrit sur les premiers secteurs du disque (actuellement, il occupe environ 70 Ko, soit 150 secteurs), -vous <em>devez</em> lui laisser suffisament d'espace libre en début de -disque. Par le passé, on vous suggérait de créer une petite partition -en début de disque, non formatée. Pour la même raison que celle -évoquée plus haut, nous vous suggérons maintenant de ne pas faire cela +vous <em>devez</em> lui laisser suffisamment d'espace libre en début de +disque. Par le passé, on suggérait de créer une petite partition +en début de disque, non formattée. Pour la même raison que celle +évoquée plus haut, nous suggérons maintenant de ne pas faire cela sur les disques qui ne seront utilisés que pour GNU/Linux. <p> -Pour les installation ARC, vous devriez créer une petite partition FAT +Pour les installations ARC, vous devriez créer une petite partition FAT en début de disque, qui contienne <prgn>MILO</prgn> et <prgn>linload.exe</prgn> - 5 Mo devraient suffire, voir <url id="non-debian-partitioning">. Malheureusement, la création de @@ -640,34 +640,34 @@ <sect>Partitionnement des nouveaux PowerMacs <p> Si vous faites l'installation sur un PowerMac NewWorld, -vous devez créer une partition bootstrap spéciale pour gérer le -chargeur de démarrage. Sa taille doit être de 800 Ko et sont type -de partition, <em>Apple_Bootstrap</em>. Si la partition n'est pas -créée avec ce type précus, votre machine ne pourra pas démarrer à +vous devez créer une partition bootstrap spéciale pour contenir le +chargeur de démarrage. Sa taille doit être de 800 Ko et son type +de partition, <em>Apple_Bootstrap</em>. Si la partition n'est pas +créée avec ce type précis, votre machine ne pourra pas démarrer à partir du disque dur. Cette partition peut facilement être créée dans <prgn>mac-fdisk</prgn> avec la commande <tt>b</tt>. <p> Le type spécial de partition Apple_Bootstrap est nécessaire pour empêcher MacOS de monter et d'endommager la partition bootstrap, car -elles contient des modifications spéciales faites pour permettre à +elle contient des modifications spécialement faites pour permettre à OpenFirmware de la démarrer automatiquement. <p> Notez que cette partition bootstrap n'est supposée contenir que 3 petits fichiers : le binaire <prgn>yaboot</prgn>, son fichier de configuration <file>yaboot.conf</file>, et un premier niveau du chargeur OpenFirmware, <prgn>ofboot.b</prgn>. -Elle n'a pas besoin ni ne doit être montée dans votre système de -fichiers, ni comporter de noyau, ni quoi que ce soit d'autre. +C'est inutile de la monter dans votre système de fichiers (et elle ne doit +pas l'être), ni d'y copier un noyau ou quoi que ce soit d'autre. Les utilitaires <prgn>ybin</prgn> et <prgn>mkofboot</prgn> servent à manipuler cette partition. <p> Afin qu'OpenFirmware démarre automatiquement &debian;, la partition -bootstrap doit apparaître sur le disque avant les autres partitions de -démarrage, spécialement avant les partitions de démarrage de MacOS. +bootstrap doit apparaître sur le disque avant toute autre partition, +et surtout, avant les partitions de démarrage de MacOS. Vous devriez créer en premier la partition bootstrap. Cependant, si vous ajoutez une partition dbootstrap plus tard, vous pouvez utilisez la commande <tt>r</tt> de <prgn>mac-disk</prgn> pour -ré-ordonner les partitions, de sorte que celle de dbootstrap suive +réordonner les partitions, de sorte que celle de dbootstrap suive immédiatement la table (qui est toujours la première partition). C'est l'ordre logique de la table qui compte, pas l'ordre des adresses physiques sur le disque. @@ -675,7 +675,7 @@ <![ %mac-fdisk.txt [ <p> Lisez la <url id="mac-fdisk.txt" name="page de manuel de mac-fdisk"> -pour savoir comment créer cette partition, et les autres. Nous vous +pour savoir comment créer cette partition et les autres. Nous vous suggérons aussi de lire le <url id="&url-mac-fdisk-tutorial;" name="tutoriel mac-fdisk">, qui décrit les étapes que vous devez suivre si vous voulez partager votre disque avec MacOS. @@ -696,7 +696,7 @@ le disque. Vous avez le choix entre initialiser et activer une nouvelle partition d'échange, activer une partition précédemment initialisée, ou continuer sans partition d'échange. Il est -toujours permis de ré-initialiser une partition d'échange, choisissez +toujours permis de réinitialiser une partition d'échange, choisissez donc &MSG-INITIALIZE-SWAP; à moins que vous ne soyez sûr de ce que vous faites. <p> Ce menu doit d'abord vous présenter la boîte de dialogue @@ -704,9 +704,9 @@ la partition d'échange préalablement définie ; si c'est bien le cas, pressez simplement &enterkey;. <p> -Finalement, il y a une demande de confirmation puisque l'initialisation +Ensuite, il y a une demande de confirmation puisque l'initialisation détruira toutes les données déjà présentes sur la partition. Si vous êtes -sur de vous, choisissez &MSG-YES;. L'écran va changer pendant que le +sûr de vous, choisissez &MSG-YES;. L'écran va changer pendant que le programme d'initialisation s'exécute. <p> Une partition d'échange est fortement recommandée, mais vous pouvez @@ -719,32 +719,32 @@ <p> A cette étape l'option suivante du menu devrait être &MSG-INITIALIZE-LINUX;. Si ce n'est pas le cas, c'est parce que vous n'avez pas -terminé la phase de partionnement du disque ou que vous n'avez pas +terminé la phase de partitionnement du disque ou que vous n'avez pas choisi l'une des options du menu concernant votre partition d'échange. <p> Vous pouvez initialiser une partition Linux, ou bien en monter une -déjà initialisée. Notez que <prgn>dbootstrap</prgn> ne mettra <em>pas</em> -à jour un ancien système sans le détruire. Si vous mettez à jour, un -système Debian dispose de moyens qui le dispensent d'utiliser -<prgn>dbootstrap</prgn>. -Pour les instructions de mise à jour vers un système Debian &release;, +déjà initialisée. Notez que <prgn>dbootstrap</prgn> <em>ne</em> mettra +<em>pas</em> à jour un ancien système sans le détruire. Pour une mise à jour, +Debian dispose d'autres moyens et n'utilise pas <prgn>dbootstrap</prgn>. +Pour des instructions sur la mise à jour vers un système Debian &release;, voyez les <url id="&url-upgrading;" name="instructions de mise à jour">. <p> -Donc, si vous utilisez d'anciennes partitions qui ne sont pas vides, c-à-d +Donc, si vous utilisez d'anciennes partitions qui ne sont pas vides, c.-à-d. si vous acceptez de perdre ce qu'il y a dessus, vous devez les initialiser maintenant (ce qui supprime tous les fichiers). Vous devez initialiser toutes les partitions créées lors de l'étape de création des partitions. Une des seules raisons qui justifierait le montage d'une partition sans l'initialiser serait le montage d'une partition sur laquelle une partie de la procédure d'installation aurait été -effectuée, avec le même jeu de disquettes d'installation . +effectuée, avec le même jeu de disquettes d'installation. <p> Choisissez l'option &MSG-INITIALIZE-LINUX; du menu pour initialiser et monter la partition <file>/</file>. La première partition que vous montez ou initialisez sera celle montée sous <file>/</file>, la « racine ». <p> Il vous sera proposé de conserver la &Pre-2-2-Linux-Kernel-Compatibility;, -ç-à-d la compatibilité avec les noyaux antérieurs à 2.2. Répondre &No; signifie +c.-à-d. la compatibilité avec les noyaux antérieurs à 2.2. Répondre &No; +signifie que vous ne pourrez pas faire tourner de noyau plus ancien que 2.2 sur votre système, puisque le système de fichiers ajoute quelques fonctionnalités qui ne sont pas supportées dans le noyau 2.0. Si vous savez que vous n'aurez jamais @@ -757,9 +757,9 @@ disques modernes possèdent des systèmes internes de contrôle et de gestion des blocs défectueux. Par contre, si vous n'êtes pas certain de la qualité de votre disque dur, ou que vous possédez un système un peu -vieux, il vaut peut-être mieux faire ce test de blocs défectueux. +vieux, il vaut peut-être mieux faire ce test des blocs défectueux. <p> -Les questions suivantes sont simplement des points de confirmations. Il sera +Les questions suivantes sont simplement des points de confirmation. Il sera demandé de confirmer chaque action, étant donné que l'initialisation est destructive pour les données sur la partition, et vous serez informé que la partition est montée en tant que <file>/</file>, la partition racine. @@ -769,9 +769,9 @@ </footnote> <p> Une fois que vous avez monté la partition <file>/</file>, si vous avez des -systèmes de fichiers supplémentaires que vous voulez initialisez et monter, +systèmes de fichiers supplémentaires que vous voulez initialiser et monter, vous devrez utiliser l'option de menu &Alternate;. -C'est nécessaire à ceux qui ont créé des partitions séparées pour +C'est nécessaire à ceux qui ont créé des partitions distinctes pour <![ %not-powerpc [<file>/boot</file>]]>, <file>/var</file>, <file>/usr</file> ou d'autres systèmes de fichiers : elles devraient être initialisées et montées maintenant. @@ -787,7 +787,7 @@ <![ %supports-nfsroot [ <p> -Si vous installez une station sans disque, vous devez maintenant +Si vous installez un poste de travail sans disque, vous devez maintenant monter en NFS votre partition racine, à partir du serveur NFS. Spécifiez le chemin du serveur NFS en suivant la syntaxe NFS standard, c'est-à-dire @@ -800,7 +800,7 @@ <file>tftplilo.conf</file> sur le serveur TFTP. Il est utilisé pour indiquer au noyau Linux quel répertoire monter au démarrage du système à installer. Le chemin par défaut dans <file>tftplilo.conf</file> est -<file>/nfshome/%C</file>, où <tt>%C</tt> est remplacé par l'addresse +<file>/nfshome/%C</file>, où <tt>%C</tt> est remplacé par l'adresse IP en notation décimale du système client à démarrer. ]]> <p> @@ -821,7 +821,7 @@ les touches <tt>Alt</tt> et <tt>F2</tt>, et d'exécuter manuellement les commandes nécessaires pour monter la partition en question. <p> -Si vous êtes en train de monter la partition racine de votre nouveau système, +Si vous montez la partition racine de votre nouveau système, montez-la sur <file>/target</file>, retournez sur <prgn>dbootstrap</prgn>, et reprenez le processus (éventuellement en lançant l'étape &View-the-Partition-Table;, qui permet à <prgn>dbootstrap</prgn> @@ -830,8 +830,8 @@ Pour les partitions autres que la racine, vous devez vous rappeler que vous devez modifier manuellement votre nouveau fichier <file>fstab</file> de manière à ce que vos partitions soient montées -au démarrage. Attendez que le fichier <file>/target/etc/fstab</file> -soit écrit par <prgn>dbootstrap</prgn> avant de l'éditer, bien sûr. +au démarrage. Bien sûr, attendez que le fichier <file>/target/etc/fstab</file> +soit écrit par <prgn>dbootstrap</prgn> avant de l'éditer. <!-- Keep this comment at the end of the file