Le 09/09/2019 à 10:37, Jean-Yvon Landrac a écrit :
Le 09/09/2019 à 00:32, Eric SIBERT via Talk-fr -
talk-fr@openstreetmap.org a écrit :
Variante, comme la dérive des points de référence est aussi fournie
avec la réalisation, tous les jours à minuit, on corrige les
coordonnées dans OSM pour tenir compte de la dérive :-).
Vu la précision du stockage, chaque jour on ajoutera une dérive de
(0,0) à tous les points. Soit une dérive de (0,0) au bout d'un an.
En fait on peut appeler cette méthode KISS...
Jean-Yvon
Au delà de cette boutade, il semble plus logique de stocker en
coordonnées locales car ce sont des données stables.
De plus comme dit Stéphane les coordonnées précises corrigées données
par le réseau IGN sont en coordonnées locales.
Les imageries sont en coordonnées locales (là je fais encore confiance à
Stéphane).
Demain on peut supposer que nos GPS donneront les coordonnées dans le
système local : il s'agit de projeter un point dont on a la date dans un
système, c'est bien plus simple que de projeter des milliards de points
dont on n'est pas sûrs de la date dans un système.
Quand à la fréquence de rafraichissement des données, on a une idée avec
l'Australie qui bouge vite : une modification en 25 ans et après passage
à un système plus dynamique, voir
https://www.spatialsource.com.au/surveying/gda2020-and-overcoming-the-web-mercator-dilemma
(merci Violaine).
Oui, j'entends entre les GPS à 100 m près de 1994 et ceux d'aujourd'hui
il y a eu quelques progrès, mais rassurez-moi, si vous trouvez que
d'après le GPS la boîte-aux-lettres se trouve à côté de la boulangerie
et non de la poste, vous l'ajoutez bien à côté de la poste ? Et oui, on
travaille en relatif, les coordonnées absolues sont un confort récent.
Jean-Yvon
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