J'ai opté pour 2 points distincts, liés par une relation de type site Art.
Le 23 avril 2017 à 22:15, Philippe Verdy <verd...@wanadoo.fr> a écrit : > > > Le 23 avril 2017 à 15:17, François Lacombe <fl.infosrese...@gmail.com> a > écrit : >> >> Hello, >> >> Côté power, pas en faveur du tout d'indiquer les pylônes avec un polygone >> marquant l'aire de la base. >> C'est parfois fait en sortie du cadastre et indiqué en building=yes >> wall=no mais je le supprime systématiquement. >> Si tant est qu'il faille l'évoquer, un polygone est assez complexe à >> intégrer à une ligne (en l’occurrence les câbles supportés par le pylône). >> >> Pour les références, chez RTE le numéro d'un pylône n'est pas unique >> nationalement. Utiliser ref:FR:RTE ne me semble pas judicieux. > > > S'il n'est pas unique c'est marce qu'il y a un découpage en sous-réseaux. > Mais comme ces sous-réseaux ne sont pas encore identifiés... Je vois mal ce > qu'on va mettre à la place. En attendant ref:FR:RTE est le seule élément > adéquat, même s'il n'est pas unique nationalement mais dépend de la > délimitation de zones ou de sous-réseaux (qui pourraient avoir des > recouvrement territoriaux selon les classes de distribution ou selon les > contrats avec les collectivités ou producteurs d'énergie voire aussi les > contrats avec les autres producteurs européens, ou des gestionnaires > d'équipements de transport dont RTE ne serait que locataire ou > concessionnaire). > >> >> En revanche on pourrait créer un ref:FR:RTE_support documenté correctement >> en indiquant que c'est une référence unique sur la file de pylône sur >> laquelle il prend effet. > > > avant de parler d'une nouvelle clé il faut savoir ce qu'on va mettre dedans. > Comme tu dis que le numéro n'est pas unique nationalement, si ton idée est > de le rendre unique il nous manque un identifiant de sous-réseau. Si c'est > juste pour remettre la même valeur que ce qu'on met actuellement dans > ref:FR:RTE, cela n'a strictement aucun intérêt, on complique juste les > choses avec un autre tag de plus pas mieux renseigné qu'avant. > >> >> Ainsi les points géodésiques IGN n'entreront pas en conflit et on pourra >> continuer d'utiliser un simple noeud pour tout le monde. > > > Les points géodésiques IGN n'ont absolument pas besoin d'être liés aux > références des pylones RTE. Même leir positionnement est différent ! Le > réseau géodésique s'appuie sur un point précis du pylone, à une hauteur > spécifiée, et il peut y en avoir plusieurs, alros que RTE mettra une > référence pour le support entier voir pourra créer des références sur > certains porteurs de câbles selon la hauteur ou la tension quand le mêem > pylone supporte plusieurs lignes. > > On fera donc comme pour les points géodésiques des églises ou des châteaux > d'eau: des noeuds distincts, et indépendant des références liées aux usages > des supports Même problème pour les pylônes télécom (émetteurs, réémetteurs, > relais hertziens, antennes de téléphonie mobile): on a des références > séparées dans la base de l'agence française des fréquences, et des > références pour chaque réseau locataire des antennes, parfois partagées par > plusieurs opérateurs (téléphonie mobile 2G/3G/4G/5G, Wimax, radio, > télévision, sécurité publique, sociétés de transport et logistique, liaisons > privées permanentes ou louées temporairement à la demande) et souvent > plusieurs équipements sur le même support, et plusieurs fréquences. > > Dès qu'on esssaye de tout mélanger sur le même noeud on a des problèmes de > maintenance et d’ambiguïté des tags, alors que le positionnement des noeuds > (même s'il est très précis, n'atteint pas la précision centimétrique et > qu'on peut très bien grouper plusieurs noeuds distincts côte à cote dans la > marge de précision de chaque source, sans les fusionner. > > On l'a vu aussi les points géodésiques peuvent disparaitre en même temps que > leur support, ou être replacé sur un nouvel équipement au même endroit ou un > peu à côté si une nouvelle mesure est effectuée. Même pour ces points quand > ils disparaissent et sont reconstruits, ils seront remesurés avec les outils > actuels et des nœuds voisins seront réalignés. Les modèles géodésiques ont > également pu changer entre temps (le terrain bouge, quelques millimètres ou > centimètres par an selon les endroits, cela s'accumule avec le temps quand > ces points ne sont pas révisés pendant des décennies ...) et il n'y a pas de > raison d'empêcher de déplacer un support physique selon une source nouvelle, > si le points géodésique lui-même n'est pas révisé officiellement. > > Pour les gros pylônes, on n'a même pas une précision décimétrique, la > précision métrique est suffisante si on regarde simplement la place occupée > au sol par les 4 pieds (et en haut les porteurs sont encore plus larges). Un > point géodésique au pied sera sur un des angles, en hauteur il sera souvent > avec un petit réflecteur fixé au centre d'un porteur, il n'est pratiquement > jamais directement sur un des câbles, et l'écartemetn entre les cables > atteint aussi plusieurs mètres (et pourtant on n'en tient pas compte dans > OSM en ne représentant qu'une ligne centrale pour tous les câbles.... > > > _______________________________________________ > Talk-fr mailing list > Talk-fr@openstreetmap.org > https://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr > _______________________________________________ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org https://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr