Le 19/05/2014 14:57, Marc SIBERT a écrit :
Bon j'ai un petit schéma :

En fait il ne passe pas donc voici un lien :
http://eirl-marc.wp.sibert.fr/files/2014/05/Dessin2.png

C'est bien clair : BANO synthétise et produit ; OSM est l'une des sources (la meilleure ?)

A+


Le 19 mai 2014 12:38, Vincent Pottier <vpott...@gmail.com <mailto:vpott...@gmail.com>> a écrit :


    Le 19/05/2014 11:38, Pieren a écrit :

        Je ne suis pas très à l'aise vis à vis de ce projet. D'un côté, je
        comprend l'envie d'aller vite et d'offrir une base adresse
        s'affranchissant des contraintes de l'import dans OSM. C'est
        aussi à
        cette tentation qu'à céder mapbox en créant le projet
        "openaddresses"
        ([1]), en voulant s'affranchir, lui, des problèmes de licences. Ca
        nous fait donc déjà deux bases adresses "libres".
        On voit bien où ça nous mène : un fork des données avec des
        outils qui
        seront obligés de jongler avec plusieurs bases (OSM pour la
        navigation
        et bano pour le géocodage, par exemple). C'est exactement
        contre ça
        qu'OSM a été créer : ne plus avoir à chercher à gauche et à droite
        voir qui fait quoi, qui fait le mieux et comment et avec quelle
        license pour travailler avec des données géographiques mais
        avoir le
        tout centralisé dans une seule base (et aussi pour les mises à
        jour).

        Donc "hourra pour bano" si ça sert à accélerer l'intégration des
        adresses dans OSM. Mais "bof" si ça devient une solution
        pérenne pour
        compenser nos faiblesses comme dans la modélisation ou les
        contraintes
        de l'import (et qu'il vaudrait mieux surmonter).

    OSM reste bien le réservoir de données autours duquel se développe
    un écosystème.
    Par nature, base de donnée ouverte, OSM a besoin de cet écosystème
    pour la fourniture de données stabilisées.
    OSM ne permet pas de connaître la qualité des données fournies :
    précision, cohérence, libellés, exhaustive...
    On le voit dans de nombreux exemples : trait de côte, limites des
    collectivités territoriales...
    Ce ne sont pas des données brutes OSM qui sont fournies, mais des
    données au moins vérifiées dans leur intégrité, voire simplifiées.
    Ce sont des interfaces de nature diverse qui fournissent ces
    données avec un minimum d'information sur la qualité de celles-ci.

    Il me semble, si j'ai tout compris, que BANO s'inscrit bien dans
    la logique OSM en étant une double interface.
    D'un côté l'aspect QA, permettant de compléter et corriger OSM (et
    non d'importer dans OSM, ça a bien été répété)
    De l'autre côté, proposer un jeu de données stabilisées, échappant
    aux vicissitudes intrinsèques d'OSM : non permanence des ids,
    risques d'introductions d'erreurs...
    BANO permet que :
    * à terme OSM soit bien le réservoir de données,
    * à terme des jeux d'adresses cohérents soient fournis à qualité
    standardisée (exhaustivité, précision, libellés, références...).

    Comme il y a plusieurs fournisseurs de cartes Garmin à partir des
    données OSM, comme il y a de nombreuses cartes en lignes, il y
    aura probablement plusieurs fournisseurs de données stabilisées...
    --
    FrViPofm


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