Le 24 mai 2012 à 14:25, Bruno Cortial a écrit : > Il semble que l'aspect réciprocité n'est pas trop évoqué : le fait que les > données libérées puissent être étoffées, améliorées par les > utilisateurs/citoyens/entreprises semble être mis de coté. C'est pourtant un > point clé je pense dans le choix de la licence...
C'est malheureusement exact. Le schéma que les gens ont dans la tête est le libre-service du prêt à manger, car Mme Michu ne sait pas traiter les données brutes, d'où le souci parfois formulé de "préparer" les données, ce qui est source d'inquiétude, car cela peut coûter cher. Il faut bien comprendre, vous, les geeks, que vous aurez toujours du mal à vous déguiser en électeurs moyens. ;-) . Il est plus compréhensible de parler de la population qui s'intéresse à la vie locale (en période d'élections, surtout) et de dire qu'elle trouvera des médiateurs pour remettre les données dans une forme digeste, mais parler d'applications spécifiques remet de l'inquiétude, car qui sont ces mystérieux bienfaiteurs? Convertir les données (pas seulement géo) en carte est mieux perçu, mais, peut-être, en citant presqu'autant Google Maps qu'OSM. La valorisation via OSM ne doit être présentée qu'une fois que les étapes de la compréhension basique sont franchies. Christian _______________________________________________ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org http://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr