Le 13 février 2012 11:36, Pieren <pier...@gmail.com> a écrit : > 2012/2/13 PhQ <pierre.que...@sfr.fr>: > >> Les lieux dit cadastraux représentent une zone nommée dont les limites sont >> représentée par des tiretés particuliers. En toute rigueur, pour les >> représenter dans la logique surfacique actuelle, il faudrait reporter les >> "limites" de chaque secteur avec un admin_level de 10 ou 11. Est ce un but >> ultime à atteindre ? Probablement pas. > > Les admin_level sont utilisés pour les découpages administratifs. Les > lieux-dits ont souvent des limites floues. Et donc, il est difficile > d'y appliquer une logique "surfacique".
On peut à condition de ne pas utiliser le zonage cadastral (qui peut avoir un nom générique indiqué en titre du plan), comme un découpage administratif officiel (car on ne sait pas à quel niveau de zonage se fait le découpage des quartiers administratifs d'une commune (ou un IRIS statistique pour l'Insee dans les communes de plus de 10 000 habitants uniquement, car les autres communes sont assimilées à 1 seule IRIS sans autre découpage statistique). Les quartiers administratifs d'une commune, ou d'autres découpages pour l'intercommunalité à laquelle participe la commune, regroupent la plupart du temps souvent plusieurs zones cadastrales, ces zones cadastrales étant souvent très petites, uniquement pour faciliter la numérotation des parcelles cadastrales dans chaque zone, le plus souvent sur 3 chiffres et/ou lettres maximum. De plus le nom indicatif donné pour une zone cadastrale peut n'être qu'un nom représentatif de lieu-dit au milieu de cette zone, ou une combinaison de deux noms, et contenir des abréviations, ou des éléments supplémentaires plus qualitatifs ou descriptifs (tels que "Nord" ou "Sud", "Centre", "Bourg", Nouvelle gare"...). Ces noms de zones cadastrales ne sont donc pas directement des toponymes. En revanche il reste les noms mentionnés dans les parcelles (pas moyen de qualifier mieux que "locality", à moins que ce soit le seul nom placé au centre d'un ensemble de parcelles construites, ce qu'un robot ne pourra pas juger), les noms et numéros des routes, les numéros de bâtiments pour les adresses dans une rue, qui sont à prirori utilisables (en vérifiant tout de même un minimum leur cohérence sur quelques points dans la même feuille cadastrale détaillée. >> Pour tout le reste des indications nominales, il reste le tag locality. >> Point barre. > > Absolument d'accord. Donc, tes lieux-dits inhabités, tu les taggues > sur un node avec place=locality alors ? C.a.d, comme tout le monde. > > Pieren > > _______________________________________________ > Talk-fr mailing list > Talk-fr@openstreetmap.org > http://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr _______________________________________________ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org http://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr