Journal Intime Collectif wrote:
> En fait un fond de carte ne serait pas suffisant pour nous car beaucoup
> trop long à charger, il est nécessaire que cela soit vectoriel et nous
> avons beaucoup de choses à apporter dans le domaine des espaces urbains
> car les auteurs jicquiens
> sont assez précis dans le référencement de leurs textes : feu rouge,
> sortie de métro, nom de quartier aussi (ce qui n'existe pas à ma
> connaissance pour l'instant)  etc. Quand un auteur rentrera son texte
> dans la BDD il le posera sur une carte et pourra enrichir aussi OSM...
> Voilà je ne sais pas si je me fais bien comprendre.

Bonjour,

Je crois que je commence à saisir le projet... En terme d'utilisation,
tu voudrais que les auteurs jicquiens puissent pointer les différents
lieux cités dans le récit, c'est ça ?

Tel que je le comprends, il peut donc y avoir plusieurs lieux pour un
récit et ces lieux peuvent aussi bien être très vagues (un quartier) que
très précis (un feu rouge). L'idée serait que les auteurs exploitent les
"lieux" déjà référencées dans OSM et saisissent ceux qui ne le sont pas
encore.

Le souci est de faire le lien entre votre base de données qui contient
les récits et la base de données OSM. Dans tous les cas, ce lien sera
stocké dans votre base de données et il peut y avoir deux façons de faire :

1) Les lieux du récits sont associés à l'identifiant OSM du lieu. Par
exemple si deux personnages se donnent rendez-vous près de la fontaine
des Danaïdes, tu peux lié ce lieu au way n°42941521
(http://www.openstreetmap.org/browse/way/42941521).

2) Les lieux du récits sont associés à des coordonnées géographiques
(latitude/longitude). Avec le même exemple, ton lieu serait positionné
en (5.385332E, 43.299573N).

La solution 2 ne fait le lien que sur la position, ça a l'avantage
d'être souple, tu peux gérer tes lieux et les afficher même s'ils
n'existent pas dans OSM. La deuxième solution implique que le lieu
existe ou soit créé à la volée dans OSM mais ça permet d'exploiter les
tags en plus de la simple position.

Pour bien faire ce choix, il faut aussi considérer ce qu'il y a autour
de la base de données, notamment les interfaces de saisie. Dans le cas
1), votre interface devra être capable d'éditer potentiellement
n'importe quel objet OSM. C'est faisable mais la tâche est si énorme
qu'il vaut mieux dire aux auteurs d'éditer OSM au préalable avec les
outils traditionnels (JOSM, Merkaator, Potlatch, etc). Dans le cas 2),
les auteurs pourraient simplement positionner des marqueurs sur un fond
de plan OSM.

Vous parliez de fond de plan et de vecteur, les deux ne sont pas
nécessairement incompatibles. Essayez le calque "Données" sur
http://www.openstreetmap.org/ par exemple. Ça permet de bénéficier de la
richesse du fond de plan tout en ayant accès aux objets vectoriels et à
leurs propriétés.

Cordialement
-- 
Gilles Bassière - Web/GIS software engineer
http://gbassiere.free.fr/

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