Le 23/03/2011 13:54, Guillaume Allegre a écrit :

Le mer. 23 mars 2011 à 13:29 +0100, Vincent de Chateau-Thierry a ecrit :

Moins nombreux ? Prenons un damier, soit 8 x 8 cases. Pour 64 cases,
seules 8+8+6+6=28 cases partagent une limite avec l'extérieur. Si tu
transposes ce damier en une comcom (une case = une commune), la
relation que tu souhaites aurait 64 membres, celle que je propose 29
(les 28 limites + un admin_centre), voire un peu plus que 29 car
certaines limites seraient scindées du fait des découpages des
communes hors comcom.

*beaucoup plus* que 29 : de nombreuses communes ont leurs limites scindées
en d'autres points qu'un changement de commune voisine :
souvent quand une limite entre communes change de "support"
(passe d'une route à une autre route, ou un cours d'eau, etc.).

Si tu traces en t'appuyant sur les routes et cours d'eau, en effet. De mon côté je trace toujours un way à part, quitte à reprendre des nodes utilisés par des routes ou rivières. D'où une plus faible inflation.


Concrètement, on a ce cas par exemple avec le département 86 : 281
communes, et seulement 178 membres dans la relation qui décrit le
contour de département.

Ton exemple est spécieux : j'ai bien expliqué ma position pour les EPCI,
pas pour les départements et régions.
Pour les départements (et encore plus les régions), les communes frontières
sont proportionnellement bien moins nombreuses que pour des EPCI.

Arf :-) Le but n'était pas de dévier, mais de montrer que la situation que je décrivais en théorie (le damier) se retrouve concrètement.


Donc aucune règle ne te dira combien de limites sont nécessaires en
fonction du nombre de surfaces considérées, l'argument de la
complexité d'édition ne tient pas.

D'une part, je pense qu'il tient, d'autre part dans la "complexité d'édition",
il n'y a pas que le nombre d'objets, mais aussi le fait que les objets soient
facilement compréhensibles par l'utilisateur.
Et un objet way 39078124 est largement moins facile à manipuler que
l'objet relation "MaCommune", donc plus sujet à erreurs.

Là dessus, je ne te rejoins pas. Manipuler des relations de relations, je trouve ça plus compliqué / plus abstrait que manipuler des relations de ways "bruts".


Tout comme un département, voire une région ou un pays. Tous ces
niveaux peuvent être définis par une accumulation de communes, ça
n'empêche pas le modèle actuel (par limites) de fonctionner.

Ah, on tourne en rond dans l'argumentation là.

:-)

Je ne dis pas que le modèle actuel ne fonctionne pas, au contraire.
Je dis que dans le cas des EPCI on peut trouver un meilleur modèle, plus 
"moderne"
et que ça vaut le coup d'essayer pour simplifier la tâche des utilisateurs
qui vont se charger de la saisie.

Ok, je comprends cette motivation (simplifier la tâche), en revanche je trouve plus compliqué ce que tu trouve plus simple (voir ci-dessus).

Dans le fil actuel, on ne parle en effet que des EPCIs à fiscalité
propre. Chaque commune ne peut appartenir qu'à un seul de ces EPCIs
à la fois. Il n'y a pas, que je sache, d'opposition particulière à
mapper les autres EPCIs, il manque juste des "porteurs" pour le
sujet, bref avis aux motivés : imaginer le modèle géométrique, le
modèle de tags, discuter le tout... yapluka :-)

Ben voilà, on y est : la proposition de relation de relations-communes
(ou somme de surfaces) a le mérite d'avoir un seul modèle applicable à
tous les EPCI (donc à fiscalité propre ou pas).

Le modèle par limites est tout autant applicable. Ce débat sur le modèle géométrique, encore une fois, est récurrent, et les deux façons (surfaces vs limites) permettent grosso-modo d'arriver aux mêmes fins. Mon "yapluka" s'applique surtout au choix des tags pour décrire un SIVOM ou autre. Les tags existants suffisent-ils ? Les valeurs existantes ? Que faut-il créer comme nouveaux tags, nouvelles valeurs ? C'est à mon avis sur ce point que la discussion doit explorer.

vincent

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