Aucun rapport en l'espèce : c'était pour l'hypothèse de la
responsabilité de l'entreprise qui avait un certif intermédiaire en cas
de piratage suite à la lecture d'un flux SSL. C'était pour conclure
qu'elle serait très limitée voir écartée, quelques soit les hypothèses
envisagées. Mais effectivement, rien de directement lié.

 08/12/2013 23:16, Stephane Bortzmeyer a écrit :
> On Sun, Dec 08, 2013 at 09:06:02PM +0100,
>  Raphaël Stehli <experti...@raphael.stehli.fr> wrote 
>  a message of 442 lines which said:
>
>> - les banques sérieuses utilise du forward secrecy, qui devrait limiter
>> les problèmes de l'interception SSL,
> Je ne vois pas en quoi. On parle d'un Homme du Milieu ici. Le PFS ne
> gène pas l'Homme du Milieu, uniquement l'espion qui a stocké un flux
> chiffré antérieur.
>
>> - les entreprises ne laisse pas trainer leurs clés privées n'importent
>> où (ou elles se retourneront à leur tour contre le responsable
>> informatique),
> Mais, là encore, quel rapport ? Si un Homme du Milieu peut demander à
> une AC de générer un certificat pour bigbank.example (ou pour *),
> quelle importance que bigbank fasse attention à ses clés privées ou
> pas ?
>
>> - les banques sérieuses utilisent un autre système complémentaire (SMS,
>> code à usage unique, etc.)
> Cela protège contre certaines opérations (comme un virement), pas
> contre l'espionnage (il ne me semble pas normal qu'un employeur
> puisse voir l'état du compte en banque d'un employé).
>
>> Donc, même en cas de vol de la clé, 
> Mais il n'y a eu aucun vol de clé dans cette affaire.
>


Attachment: smime.p7s
Description: Signature cryptographique S/MIME

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