alain a écrit:
Le jeu 13/11/2003 à 14:20, claude a écrit :
Stan Pinte a écrit :
Non!!! c'est excellent. Il est indispensable qu'il existe des chemins de
migration faciles pour les utilisateurs....
Ouaip, ce serait bien quand même :)
Knoppix sera utilisé par la majorité des gens qui veulent essayer linux,
donc cela vaut la peine d'outiller cela sérieusement.
Oui et non.
Oui parce qu'un gros problème de knoppix est à mon avis son utilisation
de XFree4.3 qui est en "avance" sur le X de debian. Or certains packages
de developpement (KDE) par exemple ont des dépendances sur des libs qui
exigent une version extrèmement précise de X 4.2. Perso, j'ai essayé de
virer X4.3 pour mettre le X de sid et j'ai eu que des malheurs.
Finalement, je me suis réinstallé une sid.
Ok...C'est pas franchement enthousiasmant..
non car
-si stable avait un configurateur pour le matériel aussi performant que
celui de knoppix, une motivation importante de l'emploi de knoppix
disparaitrait. Y pas moyen de back porter les scripts de config sous
stable au moins pour x86 (ok, pour un paquet officieux of course)
Tu veux dire que ca n'est pas faisable de façon globale?
-AMA, la solution la plus simple serait d'avoir le moyen de suivre
l'évolution de knoppix après son installation. Pour les packages de
testing c'est pas un problème, pour peu que la liste soit accessible
quelque part, par contre pour les paquets de sid qui évoluent très vite,
il faudrait des mirroirs "gelés". knoppix pourrait donc constituer une
distro intermédiaire entre sid un peu trop sportive et testing, déjà
trop en retard. J'ai posé la question sur des forums knoppix mais je
n'ai pas eu de réponse.
Et apparamment...Tu n'en as pas sur duf !...Parceque justement au milieu...
Mais..Est-ce que des scripts de migrations sont envisageables ? Pas
obligatoires mais...Envisageables. Peut-être au prix de backport de
certains paquets...
Tout le monde n'est pas nécessairement interessé par la bascule
knoppix/debian...
C'est la question que je me posais...
Pascal
--
"L'avenir, c'est à l'avance qu'il faut y penser."
R. Brautigan