Simon Paillard <[EMAIL PROTECTED]> a écrit :
[...] >> Merci pour vos relectures. --- project-history.fr.sgml 2005-08-23 21:01:26.000000000 +0200 +++ project-history.fr.relu.sgml 2005-08-23 21:38:53.000000000 +0200 @@ -214,7 +214,7 @@ nouvelle interface de gestion de paquets. Largement imité, apt réglait les problèmes engendrés par la croissance continuelle de Debian, et a établi un nouveau paradigme de l'obtention et de l'installation de paquets sur des -systèmes d'exploitations Open Source. +systèmes d'exploitation Open Source. <p>Debian 2.2 <em>Potato</em> (15 août 2000) : nom de « M. Patate » du film. Cette version a ajouté le support des architectures <url @@ -281,7 +281,7 @@ projet Debian de façon à ce que les autres puissent plus directement contribuer, comme pour la réalisation de <prgn>dpkg</prgn> (Ian Jackson fut très largement responsable de cette dernière). Si je me souviens bien, il n'y a -pas eu de version officielle en 1994, bien que nous en avions eu un certain +pas eu de version officielle en 1994, bien que nous en ayons eu un certain nombre en interne, à chaque fois que nous progressions dans l'avancement de la distribution. » @@ -351,7 +351,7 @@ n'avons pas commencé en définissant des objectifs avec une approche très organisée. Dès le début, si je ne me trompe pas, nous avons rassemblé aléatoirement les sources d'un certain nombre de paquets. Avec le temps, nous -avons fini par finaliser une collection de composants qui seraient nécessaires au +avons fini par mettre au point une collection de composants qui seraient nécessaires au cœur de la distribution : le noyau, un shell, <prgn>update</prgn>, <prgn>getty</prgn>, de nombreux autres programmes et fichiers de configuration requis pour initialiser le système ainsi que tout un jeu @@ -360,7 +360,7 @@ <sect1>Le premier gestionnaire de paquets de Debian <p> -Aux tout premiers pas du projet, ses membres considérèrent de ne distribuer +Aux tout premiers pas du projet, ses membres ont choisi de ne distribuer que les paquets source. Chaque paquet serait composé du code source amont ainsi que d'une rustine pour Debian. Les utilisateurs n'auraient alors qu'à « détarer » les sources, @@ -399,7 +399,7 @@ Lorsque Ian Murdock quitta Debian, il nomma Bruce Perens comme successeur. Bruce s'était initialement intéressé à Debian alors qu'il essayait de créer une distribution de Linux sur cédérom nommée « Linux for Hams », qui devait inclure -tous les logiciels Linux intéressant les opérateurs de radioamateur. +tous les logiciels Linux intéressant les radioamateurs. Constatant que le cœur du système Debian nécessitait encore bien plus de développement pour correspondre à son projet, Bruce s'est mis à travailler intensivement sur le système de base et les outils relatifs à l'installation, en remettant ses @@ -419,7 +419,7 @@ Il lança un certain nombre d'éléments importants du projet, incluant la coordination des efforts pour écrire les <em>principes du logiciel libre selon Debian</em> et le <em>Contrat Social de Debian</em> ainsi -que le démarrage de l'<em>Open Hardware Project</em>. Pendant la durée de son rôle de chef de projet, +que le démarrage de l'<em>Open Hardware Project</em>. Pendant la durée de ses fonctions de chef de projet, Debian a gagné des parts de marché et une réputation de plate-forme pour utilisateurs de Linux sérieux et compétents. @@ -470,8 +470,8 @@ Wichert Akkerman a succédé à Ian Jackson comme chef de projet Debian en janvier 1999. La <url id="http://www.debian.org/releases/slink/" name="version 2.1 de Debian"> a été<url id="http://www.debian.org/News/1999/19990309" -name="publiée"> le 9 mars 1999, après avoir été retardée pendant une semaine par -l'arrivée de problèmes de dernière minute. +name="publiée"> le 9 mars 1999, après avoir été retardée pendant une semaine +à cause de problèmes de dernière minute. <p> Debian 2.1 (<em>Slink</em>) gérait officiellement deux nouvelles architectures : <url id="http://www.debian.org/ports/alpha" @@ -559,7 +559,7 @@ possibilité de préparer une nouvelle version à n'importe quel moment. <p>À cette époque, une partie des sociétés qui distribuaient des versions -modifiées de Debian ferma définitivement. Corel vendit sa division Linux lors +modifiées de Debian fermèrent définitivement. Corel vendit sa division Linux lors du premier trimestre 2001, Stormix déclara sa faillite le 17 janvier 2001, et Progeny stoppa le développement de sa distribution le 1er octobre 2001. @@ -883,7 +883,7 @@ Linux pleine de bogues et mal maintenue. Comme si cela ne suffisait pas, ces « distributeurs » ont une fâcheuse tendance à vanter de manière trompeuse des caractéristiques non fonctionnelles ou extrêmement instables de -leurs produits. Ajouter cela au fait que l'acheteur attendra, bien sûr, que le +leurs produits. Ajoutez cela au fait que l'acheteur attendra, bien sûr, que le produit corresponde à sa publicité et au fait que beaucoup pourront voir Linux comme un système commercial (ils ont aussi une tendance à ne pas mentionner que Linux est libre, ni qu'il est distribué sous la licence GNU). Enfin, ces @@ -905,8 +905,8 @@ certain domaine auront l'opportunité de construire et de maintenir les composants individuels de ce domaine. Impliquer ces gens garantit aussi que des suggestions valables pour l'amélioration pourront être incorporées dans la -distribution pendant son développement ; de cette façon, une distribution -est créée basée sur les besoins et les désirs des utilisateurs plutôt que pour +distribution pendant son développement ; de cette façon, la création d'une +distribution est basée sur les besoins et les désirs des utilisateurs plutôt que sur les besoins et les désirs d'un constructeur. C'est très difficile pour une personne seule ou un petit groupe d'anticiper ces besoins et ces désirs à l'avance sans une participation directe d'autres personnes. @@ -924,8 +924,8 @@ <p> La « Free Software Foundation » joue un rôle extrêmement important pour le futur de Debian. Par le simple fait qu'elle le distribuera, un message -est envoyé au monde que Linux n'est pas un produit commercial et qu'il ne le -sera jamais, mais que cela ne veut pas dire que Linux ne sera jamais capable de +est envoyé au monde : Linux n'est pas un produit commercial et il ne le +sera jamais, mais cela ne veut pas dire que Linux ne sera jamais capable de rivaliser commercialement. Pour ceux d'entre vous qui ne sont pas d'accord, je vous demande d'observer le succès du GNU Emacs et de GCC, qui ne sont pas des produits commerciaux mais qui ont eu malgré ça un impact certain sur le marché -- To UNSUBSCRIBE, email to [EMAIL PROTECTED] with a subject of "unsubscribe". Trouble? Contact [EMAIL PROTECTED]