> La méthode choisie par le responsable de la traduction française n'est pas 
> très pratique ni démocratique. Elle l'est breaucoup moins que ce que 
> suggérait la documentation officielle de Debian, que le responsable français 
> a pris a charge (et traduite !).

Pas d'accord, on fait tout sur la liste, c'est la démocratie active.

> 
> Pour notre malheur, il ne maitrise pas très bien le Français et les fautes 
> d'orthographe, de style et de grammaire sont monnaie courante. Hors, avec le 
> peu que j'ai lu dans la liste de diffusion que le responsable francophone a 
> mis en place, je constate qu'ils n'est pas assez régulier pour suivre le 
> flux, pas assez secondé, dépassé par l'ampleur de la tâche, et pas bien à 
> même de coordonner tout ça. Donc, il me semble que son parti pris sur les 
> traductions à suivre ou à ne pas suivre influe très largement sur la 
> motivation du groupe qu'il cherche à créer autour de lui.

Il ne cherche rien a creer. Il coordonne. Il fait *suffisement* bien son 
travail ! son travail n'est pas de dire qui fait quoi, puissque chacun est 
libre, mais de placer sur le site le fruit du travail libre de chacun. Et il 
n'y a rien a redire de ce coté. Quant à ses fautes d'orthographe, critiquer 
dans le vide comme ca ne sert à rien donne des exemples précis avec la 
correction qui va avec, et tu va voir, deux jours apres (le temps que la page 
centrale soit mise a jour, puis que le mirroir tienne compte des corrections), 
elles auront disparues...

> 
> Quel dommage ! Il y a toutes les bonnes volontés, mais tout dépends d'un seul 
> coordinateur qui fait ce qu'il veut, quand il le veut et quand il peut. Donc 
> on doit s'attendre à ce que pas mal de traductions achevées restent dans les 
> oubliettes, et il est illusoire de voir un jour des corrections sur la 
> hiérarchie française des documents. De même, pas mal de petits fichiers 
> annexes sont mal traduits (ceux qui gère la structure des pages françaises), 
> ou n'ont pas suivi les révisions de la version officielle. Il faudrait du 
> monde pour s'en occuper, pour corriger les fautes de frappe, et autres 
> anglicismes ou choix inconsistants de traduction.

En parlant de bonne volonté, t'as la liste des choses à faire sur le net, si 
tu veux t'y mettre, t'es le bien venu !
 
> L'idée que la liste de diffusion serve à envoyer les traductions est à mon 
> avis très mauvaise. Il serait beaucoup mieux de séparer les tâches en deux 
> parties distinctes: l'une avec un CVS public, facile d'accès en lecture et 
> écriture, l'autre pour les discutions sur les traductions, et c'est là le 
> rôle d'une mailing list.

Pas d'accord, l'enjeux ne vaut pas les difficultés de mises en place. On tourne 
bien comme ca. Si ca commence a coincé du fait du volume qui augmente, on en 
reparle. Pour l'instant, pas la peine.

> Que penses-tu de l'idée de créer un compte CVS plus ouvert où des traducteurs 
> francophones (français, belges, canadiens, suisses, africains...) pourraient 
> plus facilement collaborer en groupe. De ce CVS public sortirait une 
> traduction plus rapide et meilleure, car proposée par un groupe au lieu d'un 
> seul individu à la fois, proposée au coordinateur qui serait presque obligé 
> de l'accepter du fait du nombre de relecteurs ?

Ce n'est pas lui qui decide de qui a un compte, mais les instances centrales 
de debian (ie, les webmasters de debian). Et ouvrir un compte anonyme en 
ecriture est une TRES mauvaise idée. A quoi bon, d'ailleurs, puisque ca va 
tres bien comme ca ?
 
> Il y a des sites Web spécialisés et gratuits, dans le travail coordonné entre 
> utilisateurs. Cela permet de collaborer sur un même source, avec un nombre 
> réduit (mais pas trop) de membres actifs, qui se font confiance mutellement 
> car ils connaissent la qualité du travail de chacun. De ces groupes réduits 
> sortent des versions bien meilleures que celles où un seul coordinateur tente 
> de rallier et chapôter le travail de tout le monde (car les sous-fiffres se 
> lassent de travailler parfois pour rien).

On fait pas un programme, mais des pages web traduites dans 15 langues. 
Problématique différente, solution différente.
 
> Enfin le rôle actuel du coordinateur est réduit à ramener TOUT le travail 
> réalisé par les autres sur son SEUL nom. Franchement antidémocratique. Donc 
> je me demande si ça vaut vraiment le coup d'y consacrer son temps...

Tu es libre. Pour l'instant, tout envoyer sur une seule adresse ou demander a 
un seul programme (cvs) de faire le travail est equivalent car christophe fait 
bien son travail (benevole, faut il le rappeler ?)
 
> Je comprends que Debian cherche à rationaliser ses traductions, et en confie 
> la responsabilité à un coordinateur, chargé de surveiller les contributions, 
> et de litéralement coordonner le travail de chacun. Bref cela évite les 
> pollutions du CVS de Debian. Mais je trouve que le rôle du coordinateur est 
> aussi de faciliter le travail des membres, et donc d'offrir tout moyen 
> permettenat à chacun de fournir un travail UTILE.

Mais tu es libre de traduire, plutot que de faire de long mails.

> Une solution toute bête existe pour cela: ouvrir un second CVS, libre 
> d'accès, dans lequel chacun peut publier ses propres traductions, qui ne sont 
> perdues par personne, et peuvent facilement être reprises par les membres du 
> groupe. De ce CVS alternatif sortirait une versions soumise à vote et à 
> discussions, qui serait alors intégrée au CVS de Debian par le coordinateur. 
> Qu'en pensez-vous ?

Ca n'offre rien de plus part rapport à publier sur la liste. 
Sauf des besoins de logistique plus grand.

Bye, Mt.
PS: sans rancune ?

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