Le 4 septembre 2013 15:06, François Lacombe < francois.laco...@telecom-bretagne.eu> a écrit :
> > Le 4 septembre 2013 13:41, Philippe Verdy <verd...@wanadoo.fr> a écrit : > >> Si ce sont des identifiants métier, quel intérêt y a-t-il a les mettre >> dans OSM ? On peut faire l'inverse et reporter de la même façon >> l'identifiant OSM dans la base métier. Dès lors qu'il y a correspondance, >> et d'autant plus que la correspondance est complexe (par exemple M objets >> dans OSM correspondant à N objets dans la base métier), il faut de toute >> façon une table de relation supplémentaire et non un seul tag d'un côté ou >> l'autre. >> > > L'astuce c'est que ce n'est pas LA base métier, mais MA base métier. > J'avais bien compris que ce n'était LA base métier puisquu'il n'y en a évidemment pas qu'une seule (sinon ce n'est pas une "base métier"). Mais si tu insistes pour dire que c'est TA base métier, raison de plus pour que tu ne viennes rien mettre dans OSM qui se réfère au contenu de TA base. Rien n'empêche TA base de contenir des objets (ou liste d'objets) directement associés à OSM. Tu crée TA table interne de liens vers OSM (ou vers autre chose, à toi de voir à quoi tu veux te lier. Elle n'est pas complète, OSM peut l'enrichir et je peux enrichir OSM. > Tu n'enrichiras pas OSM en y mettant des liens vers TA base. Si ce sont des identifiant qui viennent du terrain, ils ne procinnent pas de TA base mais d'une autre base tierce. Si cette base n'est pas ouverte, OSM n'a pas besoin et ne veut pas de ces identifiants, même si tu les as vus sur le terrain (avec ta connaissance à prori de leur signification). Si tu vois un petit panonceau ou une inscription, qui te dit que ce panonceau est à jour et sers même encore à celui qui l'a posé ? Cet identifiant peut êtte historique mais plus celui utilisé, mais il n'a pas été enlevé du terrain par l'exploitant actuel qui dispose d'autres méthodes d'identification (par exemple des numéros de série d'appareils, ou des numéros de parcelles cadastrales à la place d'anciennes zones de collecte ou de distribution, ou des numéros laissés par un titlulaire précédent de concession). Les numéris peuvent ne pas être uniques au plan national mais à une échelle locale (l'exploitant seul le sait si ce n'est pas une donnée ouverte, lui seul dispose des cartes avec les limites de zones dans lesquelles ces numéros sont utilisés, ou des codes couleur, ou logos permettant de repérer le bon numéro). Si on prend l'exemple des réseaux d'énergie ou d'eau, c'est souvent le numéro série de l'appareil de mesure comme un compteur (plombé et certifié par les mines) qui va servir de référence sur le terrain, il changera dès que l'appareil sera changé alors que l'emplacement n'a pas varié et personne ne dira quand il a changé ou va être remplacé (ce qui peut avoir lieu à tout moment et seul l'exploitant est prévenu). L'appareil étant dans une armoire normalement fermée, personne d'autre que l'exploitant (ou le propriétaire dans le cas d'une installation sur un terrain privé) n'y a normalement accès, ce n'est pas une donnée libre.
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