Le 24 février 2012 20:53, Christian Quest <cqu...@openstreetmap.fr> a écrit : > Le "sous peu" dépend de Dell, en rupture de disque-durs... et de la > signature d'une convention. > > Sinon, côté virtualisation, virtualbox c'est utile si on veut faire > tourner du non-linux, sinon, il vaut mieux se tourner vers openvz, > nettement plus efficace et économe en ressources.
Peu importe, les machines virtuelles pour divers OS (pas que Windows ou Linux) peuvent normalement fonctionner sur différents types d'hyperviseurs, que ce soit VirtualBox, OpenVZ, ou des hyperviseurs commerciaux comme Windows Virtual Server ou VMware, et d'autres hyperviseurs "maison" gérés et fournis par les hébergeurs (selon ce qu'ils veulent facturer : espace disque, mémoire, CPU, bande passante, services de sauvegarde, systèmes redondants, avec ou sans mutualisation du matériel, sachant que les techniques actuelles évoluent en faveur de la mutualisation de matériels pour privilégier la redondance, le maintien du service et l'évolutivité d'échelle, la mutualisation n'étant pas un frein en terme de performance garantie, ni de faculté de déploiement sur des sites multiples suivant le principe très à la mode du "cloud"). Cependant, certains OS invités peuvent demander l'installation dans la machine virtuelle de certains pilotes spécifiques à l'hyperviseur, pour obtenir des performances acceptables ou certaines fonctions. En général cela concerne l'interface réseau virtuelle, le support d'une interface graphique 2D/3D avec de bonnes performances OpenGL ou la programmation native ultraparallélisée pour GPU, et quelques interfaces de supervision donnant accès à certaines fonctions de l'hyperviseur telles que le démarrage à distance, ou le déclenchement des sauvegardes dans un état stable. Ces pilotes spécifiques devraient normalement être "plug-n-play" et donc se désactiver tous seuls si on déplace une machine virtuelle vers un autre type d'hyperviseur ou sur une autre architecture (par exemple changement de technologie du processeur entre Intel et AMD, le contrôle de l'affectation des cœurs de CPU utilisés par l'OS invité). Ce n'est pas toujours le cas cependant car un OS a pu être installé avec le support d'APIC et ne pas supporter la transition vers un hyperviseur qui n'offre pas ce support (c'est le cas de Windows qui ne permet que la transition inverse, non réversible une fois qu'APIC a été activé dans l'OS invité, sinon ça plante complètement et c'est difficilement réparable). _______________________________________________ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org http://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr