Bonsoir,

Je commence à y voir un peu plus clair et cette approche devrait pouvoir être 
généralisée sur tout un département.
Par ailleurs, je commence à comprendre aussi que chez nous (La Nièvre), tout 
est à créer car nous allons avoir beaucoup de mal à "récupérer" des fichiers 
cadastraux (90% de nos communes doivent être en dessous de 500 habitants).

Sur ce principe, j'ai fait mon premier essai de carto avec un fond d'écran Bing 
avec Potlach2. C'est jouable mais je me mets à la place de l'usager lambda qui 
va sans doute d'emblée déplorer que les légendes sont en anglais.
Du coup je me mets sous Potlach1... mais là ça se gâte ! Les photos Yahoo sont 
de trop mauvaise qualité pour travailler.

Plus qu'une solution : passer sur JOSM... mais ça je verrai demain !!

Je crois que nos Cyber-bases auront donc déjà un gros travail (aussi d'intérêt 
public) à réaliser au niveau de la carto "basic" avant de passer à la deuxième 
étape "photothèque". 

En attendant, merci pour cette synthèse.





----- Mail Original -----
De: "Christian Rogel" <christian.ro...@club-internet.fr>
À: "Discussions sur OSM en français" <talk-fr@openstreetmap.org>
Envoyé: Jeudi 17 Mars 2011 19h06:18 GMT +01:00 Amsterdam / Berlin / Berne / 
Rome / Stockholm / Vienne
Objet: [OSM-talk-fr] GPS vs Chaise

C'est vrai que le GPS continue, par son aspect ludique, d'enflammer 
l'imagination, de fasciner les correspondants locaux, etc.
On peut tourner les choses de manière moins négative que de dire le GPS 
au placard et vive le traçage au chaud, mais comme il a été dit aussi, 
il faut vérifier sur le terrain.
Donc, si on veut proposer quelque chose de similaire, mais mis à jour, 
aux cartoparties municipales ou, au moins, collectives, on a la démarche 
suivante :
- Les éclaireurs (centres multimédias , cyberbase, individus motivés) 
tracent toute la voirie goudronnée ou non + les POI les plus évidents
- A partir d'un walking paper, on peut faire non pas une cartopartie au 
GPS, mais une cartophotopartie pour photographier les points 
particuliers non visibles du ciel :
panneaux d'interdiction, types de ralentisseurs de trafic, boites aux 
lettres, bouches à incendies, fontaines, commerces, cheminements 
piétonniers (pour en voir le revêtement et surtout les plots et 
barrières), calvaires, petits édifices remarquables (stèles, statues, 
lavoirs...).
A un certain moment, il faudrait systématiser la collecte des photos
géolocalisées pour qu'elles apparaissent en complément de la carte.
C'est dans ce type d'action que les cyberbases (ou centres multimédias) 
pourraient trouver à rebondir :
constituer la photothèque collaborative et partageable de la commune, en 
fixant l'objectif concret d'une carte augmentée, mais qui pourrait se 
révéler, au fil du temps, d'intérêt public, puis historique.
- Comme il a été dit, il peut rester des choses à faire avec un GPS, 
surtout dans les couvert forestiers dont les ruisseaux sous arbres qui 
ne sont pas cadastrés et dont seule la connaissance des lieux permet de 
savoir s'ils sont permanents.
Des géolocalisations très précises pourraient être utiles quand les GPS 
le permettant seront abordables.

Christian



_______________________________________________
Talk-fr mailing list
Talk-fr@openstreetmap.org
http://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr

_______________________________________________
Talk-fr mailing list
Talk-fr@openstreetmap.org
http://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr

Répondre à