Le 30/11/20 à 16h56, Daniel Caillibaud <m...@lairdutemps.org> a écrit : > Bonjour, > > J'essaie d'imposer une timezone en mode non interactif avec > debconf-set-selections et y'a un truc qui m'échappe… > > # je veux avoir Europe/Paris sans avoir à répondre à une question, je me > mets d'abord sur une autre timezone # par ex en répondant Europe/Riga > dpkg-reconfigure tzdata > Current default time zone: 'Europe/Riga' > > # on vérifie debconf > debconf-show tzdata|grep ^* > * tzdata/Zones/Europe: Riga > * tzdata/Areas: Europe > * tzdata/Zones/Etc: UTC > > # je select Europe/Paris > printf 'tzdata tzdata/Areas select Europe\ntzdata tzdata/Zones/Europe > select Paris\n'|debconf-set-selections > > # je vérifie qu'il a compris ce que je voulais > debconf-show tzdata|grep ^* > * tzdata/Areas: Europe > * tzdata/Zones/Etc: UTC > * tzdata/Zones/Europe: Paris > > # ok, j'applique la sélection > dpkg-reconfigure tzdata -fnoninteractive > > Current default time zone: 'Europe/Riga' > > WTF ????
Visiblement, si /etc/localtime pointe sur une timezone le dpkg-reconfigure tzdata -f noninteractive utilise cette timezone et ignore debconf. C'est pas un bug ? J'hésite à ouvrir un bug, pour tzdata ou debconf ? (à priori plutôt tzdata vu les bugs déjà ouverts, notamment [1]) En tout cas, visiblement il faut, au choix 1) ne pas utiliser debconf et manuellement changer le symlink avant reconfigure ln -sf /usr/share/zoneinfo/Europe/Paris /etc/localtime dpkg-reconfigure tzdata -f noninteractive 2) virer /etc/localtime (et /etc/timezone, plus sûr car les anciennes versions de tzdata utilisaient ce fichier, ça semble plus le cas mais y'a encore un bug ouvert là-dessus[1]) rm -f /etc/localtime /etc/timezone printf 'tzdata tzdata/Areas select Europe\ntzdata tzdata/Zones/Europe select Paris\n'|debconf-set-selections 1132 dpkg-reconfigure tzdata -fnoninteractive [1] https://bugs.debian.org/cgi-bin/bugreport.cgi?bug=813226#20 et aussi https://bugs.debian.org/cgi-bin/bugreport.cgi?bug=848143 -- Daniel J'ai souvent regretté mes discours, jamais mes silences. Publilius Syrus