Déjà le titre est a l'image de la com actuelle : tronqué ! Ce n'est pas "Stalleman chez Microsoft", non il n'est pas embauché, non il ne travaille pas pour eux.
C'est "Stalleman fait une conférence chez Microsoft". Le samedi 07 septembre 2019 à 18:44 +0200, David Soulayrol a écrit : > S'il s'agissait de ne donner des conférences que chez les convertis, > son > travail aurait-il un intérêt ? Entièrement d'accord avec ton message. La diplomatie ce n'est pas ni agresser l'autre, ni se coucher devant l'autre, mais disctuter avec des idées claires pour améliorer les choses et éviter les conflits destructeurs. Je n'ai aucun doute sur le fait que Stallmann sache où il habite et qu'il ne soit pas achetable sur ses principes. C'est Microsoft qui est en train de changer, probablement avec les nouvelles générations. Je crois que l'engagement croissant de Microsoft pour les logiciels libre est sincère... car intéressé. Le temps ou l'OS était le centre stratégique des revenus est terminé, c'est ce qui a fait changé l'OS d'Apple il y a fort longtemps. Bien entendu il ne s'agit pas pour Microsoft de "libérer" leur entreprise, mais de recentrer leur business sur ce qui sera leur rentabilité a venir, c'est a dire comme Google, le service, en soigant leur points forts comme "office", "Azur" et le reste, tout en devenant beaucoup plus collaboratif et en libérant beaucoup de leur code pour plus d'efficacité tout en réduisant les frais. La conférence de Stalleman leur permettra de leur rappeler la différence entre opensource et libre. D'un autre côté je rappelle que logiciel libre n'est pas incompatible avec le business, ce n'est pas l'objectif : si on pourrait espérer (et donner un coup de pouce) que cette philosophie s'applique a l'ensemble de la société, c'est un peu hors sujet. Dans tous les cas, je pense que discuter avec son adversaire ne peut être que productif pour les deux partis, je crois au "gagnant-gagnant", et inversement que dans les guerres il n'y a que des perdants même si ce n'est pas l'avis des quelques individus qui les déclenchent.