Le 29/08/2016 à 18:03, François TOURDE a écrit :
Le 17042ième jour après Epoch,
Olivier écrivait:
Le fil [1] aborde la question mais j'ai du mal à anticiper s'il existe des
cas de figure, où la présence d'un CNAME dans l'enregistrement MX du DNS
est nécessaire.
Le seul cas qui me vient à l'esprit est si on est radin et snob :
- trop radin pour se payer un serveur dédié ou une adresse IP fixe, donc
on met le MX sur une connexion internet avec adresse IP variable, ce qui
est évidemment une très mauvaise idée ;
- trop radin pour payer un DNS dynamique sur le domaine, donc on utilise
un DNS dynamique générique ;
- trop snob pour définir directement le DNS dynamique comme MX, donc on
crée un CNAME qui fait pointer le beau nom du MX vers le DNS dynamique
tout pourri (comme si ça n'allait pas se voir).
Bref, tout faux.
Nécessaire non, mais bien pratique, quand par exemple tu gères plusieurs
domaines et que tu veux faire pointer les MX de chacun des domaines vers
une seule référence.
Qu'appelles-tu "référence", et en quoi est-ce plus pratique d'utiliser
un CNAME dans ce cas ?
Même si ça me semble inutile d'imposer ça, la RFC le précise, alors il
faut s'y plier (jusqu'à une nouvelle RFC ^^).
Le CNAME est un piège à con avec des effets de bord pas toujours faciles
à anticiper, donc tout ce qui contribue à réduire son usage est bienvenu.