anto <[EMAIL PROTECTED]> wrote: | mess-mate a écrit : | >Bonjour, | >le firewall de mon routeur(debian) est le 'arno-iptables-firewall' | >qui jusqu'à présent donnait pleine satisfaction. | > | >Ayant maintenant installé un dmz, celui-ci n'a pas l'air d'être à la | >page ou c'est moi qui n'arrive pas à le configurer à ce niveau. | > | >Quoi qu'il en soit j'adopterais volontiers pour un autre firewall | >pas trop compliqué (disons facile) car il faut qu'il marche au plus | >vite afin de remettre mes pages sur le net. | >De préférence un firewall en mode console. | >Que me conseillez-vous ? | >cordialement | >mess-mate | Euh, question stupide ... Pourquoi ne pas essayer une distro dédiée ? | Genre IpCop, Smoothwall et j'en passe ... | Le gros avantage de ces distros, c'est qu'elles te permettent une administration assez | simple. | Et surtout, elles ont été développées pour ça !!! | :) | D'après les suggestions précédentes j'ai adopté shorewall. C'est en effet une firewall supporté par debian, beaucoup de doc disponible (anglais/francais) et une email liste. Ce firewall permet ce qu'il me fallait également, c.à.d. une zone DMZ, LAN, MODEM (pppoe) et WIFI. Après avoir compris le fil du setup et sa config cela est assez simple à configurer.
Cela marche à merveille et j'ai ce qu'il faut. Naturellement, et je m'en occupe, un firewall pour une station de travail uniquement, peut être plus simple et je me servirais des suggestions recues. Encore un grand merci à tout ceux qui m'ont répondus et qui m'ont permis de faire le bon choix. cordialement mess-mate -- The Bulwer-Lytton fiction contest is held ever year at San Jose State Univ. by Professor Scott Rice. It is held in memory of Edward George Earle Bulwer-Lytton (1803-1873), a rather prolific and popular (in his time) novelist. He is best known today for having written "The Last Days of Pompeii." Whenever Snoopy starts typing his novel from the top of his doghouse, beginning "It was a dark and stormy night..." he is borrowing from Lord Bulwer-Lytton. This was the line that opened his novel, "Paul Clifford," written in 1830. The full line reveals why it is so bad: It was a dark and stormy night; the rain fell in torrents -- except at occasional intervals, when it was checked by a violent gust of wind which swept up the streets (for it is in London that our scene lies), rattling along the housetops, and fiercely agitating the scanty flame of the lamps that struggled against the darkness.