Le mercredi 1 septembre 2004, Christophe Combelles écrit :>Est-ce que les traducteurs doivent se sentir « propriétaires » deces>traductions et donc floués par ta main mise dessus ? C'estdiscutable,pour>(...) >D'un autre côté, je ne crois pas à la responsabilité collective ;>moi, debian-l10n-french n'est pas responsable de ces traductions, çaneen>signifie rien.
Voici mon avis là-dessus : S'il n'y avait pas de relecture, il serait logique de mettre son nomsouvent des"Last-Translator". À partir du moment où les traductions sont relues et qu'il y amodifs lors des relectures, ce n'est plus un travail personnel ;c'est untravail d'équipe, et donc on devrait mettre debian-l10n-french en "Last-Translator".
Le champ « Last-Translator » va bien au traducteur, certes les relecteurs contribuent, mais ce que tu demandes, c'est que sur la couverture d'un livre on indique en plus du nom de l'auteur le nom de tous les relecteurs...
Et si on reprend la logique d'un livre : il y a un nom d'auteur et une maison d'édition.
Chez nous, on met le nom de la personne qui a fait l'essentiel du travail de traduction dans "Last-Translator" et on met la maison d'édition dans :
"Language-Team: French <debian-l10n-french@lists.debian.org>
Ce qui me parait à la fois honnête et représentatif de la réalité